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A380: números sin anestesia
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<blockquote data-quote="carblue" data-source="post: 80668" data-attributes="member: 179"><p><strong>pérdidas récord</strong></p><p></p><p>tomado de Le Figaro de hoy,</p><p>L'avionneur a perdu un demi-milliard d'euros l'an dernier. Il sera à nouveau dans le rouge cette année. </p><p></p><p>Nuevo shock para la aeronáutica europea. La noticia era ciertamente esperada, pero ahora que la americana Boeing muestra una salud espectacular, Airbus se sumergió en el rojo el año anterior, por la primera vez en su historia. Las pérdidas llegan a 572 millones de euros, mientras que en el 2005 el constructor europeo había ganado 2300 millones de euros. Las razones de este déficit son conocidas. Ellas se basan en el deterioro de la paridad euro-dolar, conjugada a las consecuencias de los retrasos del 380 y de la revisión total del programa del 350. Para colmo la casa madre, EADS está fuertemente sacudida. En efecto, el peso de Airbus es tal que (65% de la actividad y hasta el 80% de las ganancias) que determina la salud general del grupo. En un año, sus ganancias han caído de 1600 millones de euros a 99. Y en 2007 no será el año de la recuperación, porque "Airbus registrará nuevamente una pérdida de nivel cercano al del 2006" anunciaron ayer Gallois y Enders, los dos copresidentes ejecutivos de EADS</p><p></p><p>Como es largo, lo voy resumiendo; sobre el plan industrial, el plan Power ( (10000 despidos y seis plantas a cerrar), está abierto a discutir detalles, pero no sus ejes principales. Se iba a hacer una gran huelga a nivel europeo, pero se prefirió hacerla a niveles locales y hay reuniones con los sindicatos ahora.</p><p></p><p>Airbus no está quebrado. Lo repiten los jerarcas del grupo. Cuenta con disponibilidades líquidas por más de 4000 millones</p><p>Las comunidades regionales francesas donde hay plantas de EADS y el gobierno francés quieren entrar en un posible aumento de capital del grupo, pero los caciques de la empresa han dicho que no necesitan plata ahora </p><p>para el A350, que costará 10000 millones, Gallois, habló de un financiamiento "mixto" que se entiende incluiría ayudas de los gobiernos, lo que debería pasar primero por revisión de la Comisión Europea, que ya tiene que lidiar con las demandas de Boeing en la OMC por situaciones similares</p><p></p><p>NOUVEAU CHOC pour l'aéronautique européenne. La nouvelle était certes attendue, mais alors que l'américain Boeing affiche une santé éclatante, Airbus a plongé dans le rouge l'an dernier, pour la première fois de son histoire. La perte atteint 572 millions d'euros, alors qu'en 2005 l'avionneur européen avait gagné 2,3 milliards d'euros. Les raisons de ce déficit sont connues. Elles tiennent à la nouvelle détérioration de la parité dollar-euro, conjuguée aux conséquences des retards de l'A 380 et de la révision totale de l'A 350. Par ricochet, EADS, la maison mère d'Airbus, est ébranlée. En effet, le poids de l'avionneur est tel - 65 % de l'activité et jusqu'à 80 % des profits - que sa santé détermine celle du groupe. En un an, ses profits ont fondu de 1,68 milliard à 99 millions (voir graphique). Et 2007 ne sera pas l'année de la convalescence, puisqu'« Airbus enregistrera à nouveau une perte à peu près du niveau de celle de 2006 », ont annoncé hier Louis Gallois et Thomas Enders, les deux coprésidents exécutifs d'EADS. </p><p></p><p></p><p>Sur le plan industriel, l'application du plan de restructuration Power 8 doit en revanche permettre d'engager Airbus sur la voie du renouveau en faisant émerger un constructeur mieux intégré, plus cohérent et plus agile. C'est pourquoi « on ne peut pas remettre en cause les grands axes » de Power 8, a fermement déclaré Louis Gallois. Mais sans fermer la porte à des « ajustements ». Le plan prévoit la suppression de 10 000 emplois en Europe, ainsi que la cession de six usines. « Mais il n'y a aucun licenciement sec, pas de sites fermés. Nous ne sommes pas en train de créer des drames », s'est enflammé le patron d'Airbus. Ce dernier doit rencontrer les syndicats le 14 mars afin de poursuivre « le dialogue » sur Power 8. Alors que la menace d'une grande grève européenne s'éloigne - la journée d'action prévue le 16 mars est annulée au profit de manifestations décentralisées -, Louis Gallois juge le plan « nécessaire ». « Il vaut mieux faire cela maintenant que plus tard, lorsque nous serons dos au mur. Aujourd'hui, nous avons l'avantage de bénéficier d'un carnet de commandes solide, d'usines qui tournent à plein régime, de programmes lancés. Tout cela va nous aider », a-t-il plaidé.</p><p></p><p></p><p>«Airbus n'est pas en faillite»</p><p></p><p></p><p>Il n'empêche que Power 8 a créé un immense choc en Europe, parmi les salariés, mais aussi chez les sous-traitants et dans la classe politique. Hier encore, Dominique de Villepin recevait les présidents de quatre Régions françaises concernées qui souhaitent rentrer au capital d'EADS. « L'État est prêt à participer, avec les autres actionnaires, à toute augmentation de capital qui sera jugée nécessaire », a redit le premier ministre. La direction d'EADS a toutefois confirmé que le géant européen n'avait pas un besoin immédiat d'argent frais. « EADS recherchera des ressources externes sur le marché quand cela sera nécessaire. Nous verrons à ce moment-là si nous avons besoin d'augmenter le capital, mais la décision n'a pas été prise aujourd'hui », a déclaré Louis Gallois. Sur le fond, le management s'efforce de dédramatiser la situation financière du groupe, en rappelant qu'il s'appuie notamment sur une trésorerie solide de 4,2 milliards d'euros. « EADS n'est pas en faillite », a martelé Thomas Enders. </p><p></p><p></p><p>Alors que les futurs grands partenaires de l'Airbus A350 XWB attendent des décisions en juin, Louis Gallois a évoqué un « financement mixte » pour ce futur long-courrier, dont le coût atteint 10 milliards d'euros. Il n'exclut pas de recourir à des avances remboursables des États européens. Ces dernières devraient être soumises au feu vert de la Commission européenne. Pour le moment, aucune demande en ce sens n'a été faite auprès de Bruxelles. Une telle demande risquerait, selon la Commission, d'affaiblir la position européenne devant l'OMC dans le cadre du double contentieux États-Unis-Europe sur les aides aéronautiques publiques versées à Airbus et Boeing.</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="carblue, post: 80668, member: 179"] [b]pérdidas récord[/b] tomado de Le Figaro de hoy, L'avionneur a perdu un demi-milliard d'euros l'an dernier. Il sera à nouveau dans le rouge cette année. Nuevo shock para la aeronáutica europea. La noticia era ciertamente esperada, pero ahora que la americana Boeing muestra una salud espectacular, Airbus se sumergió en el rojo el año anterior, por la primera vez en su historia. Las pérdidas llegan a 572 millones de euros, mientras que en el 2005 el constructor europeo había ganado 2300 millones de euros. Las razones de este déficit son conocidas. Ellas se basan en el deterioro de la paridad euro-dolar, conjugada a las consecuencias de los retrasos del 380 y de la revisión total del programa del 350. Para colmo la casa madre, EADS está fuertemente sacudida. En efecto, el peso de Airbus es tal que (65% de la actividad y hasta el 80% de las ganancias) que determina la salud general del grupo. En un año, sus ganancias han caído de 1600 millones de euros a 99. Y en 2007 no será el año de la recuperación, porque "Airbus registrará nuevamente una pérdida de nivel cercano al del 2006" anunciaron ayer Gallois y Enders, los dos copresidentes ejecutivos de EADS Como es largo, lo voy resumiendo; sobre el plan industrial, el plan Power ( (10000 despidos y seis plantas a cerrar), está abierto a discutir detalles, pero no sus ejes principales. Se iba a hacer una gran huelga a nivel europeo, pero se prefirió hacerla a niveles locales y hay reuniones con los sindicatos ahora. Airbus no está quebrado. Lo repiten los jerarcas del grupo. Cuenta con disponibilidades líquidas por más de 4000 millones Las comunidades regionales francesas donde hay plantas de EADS y el gobierno francés quieren entrar en un posible aumento de capital del grupo, pero los caciques de la empresa han dicho que no necesitan plata ahora para el A350, que costará 10000 millones, Gallois, habló de un financiamiento "mixto" que se entiende incluiría ayudas de los gobiernos, lo que debería pasar primero por revisión de la Comisión Europea, que ya tiene que lidiar con las demandas de Boeing en la OMC por situaciones similares NOUVEAU CHOC pour l'aéronautique européenne. La nouvelle était certes attendue, mais alors que l'américain Boeing affiche une santé éclatante, Airbus a plongé dans le rouge l'an dernier, pour la première fois de son histoire. La perte atteint 572 millions d'euros, alors qu'en 2005 l'avionneur européen avait gagné 2,3 milliards d'euros. Les raisons de ce déficit sont connues. Elles tiennent à la nouvelle détérioration de la parité dollar-euro, conjuguée aux conséquences des retards de l'A 380 et de la révision totale de l'A 350. Par ricochet, EADS, la maison mère d'Airbus, est ébranlée. En effet, le poids de l'avionneur est tel - 65 % de l'activité et jusqu'à 80 % des profits - que sa santé détermine celle du groupe. En un an, ses profits ont fondu de 1,68 milliard à 99 millions (voir graphique). Et 2007 ne sera pas l'année de la convalescence, puisqu'« Airbus enregistrera à nouveau une perte à peu près du niveau de celle de 2006 », ont annoncé hier Louis Gallois et Thomas Enders, les deux coprésidents exécutifs d'EADS. Sur le plan industriel, l'application du plan de restructuration Power 8 doit en revanche permettre d'engager Airbus sur la voie du renouveau en faisant émerger un constructeur mieux intégré, plus cohérent et plus agile. C'est pourquoi « on ne peut pas remettre en cause les grands axes » de Power 8, a fermement déclaré Louis Gallois. Mais sans fermer la porte à des « ajustements ». Le plan prévoit la suppression de 10 000 emplois en Europe, ainsi que la cession de six usines. « Mais il n'y a aucun licenciement sec, pas de sites fermés. Nous ne sommes pas en train de créer des drames », s'est enflammé le patron d'Airbus. Ce dernier doit rencontrer les syndicats le 14 mars afin de poursuivre « le dialogue » sur Power 8. Alors que la menace d'une grande grève européenne s'éloigne - la journée d'action prévue le 16 mars est annulée au profit de manifestations décentralisées -, Louis Gallois juge le plan « nécessaire ». « Il vaut mieux faire cela maintenant que plus tard, lorsque nous serons dos au mur. Aujourd'hui, nous avons l'avantage de bénéficier d'un carnet de commandes solide, d'usines qui tournent à plein régime, de programmes lancés. Tout cela va nous aider », a-t-il plaidé. «Airbus n'est pas en faillite» Il n'empêche que Power 8 a créé un immense choc en Europe, parmi les salariés, mais aussi chez les sous-traitants et dans la classe politique. Hier encore, Dominique de Villepin recevait les présidents de quatre Régions françaises concernées qui souhaitent rentrer au capital d'EADS. « L'État est prêt à participer, avec les autres actionnaires, à toute augmentation de capital qui sera jugée nécessaire », a redit le premier ministre. La direction d'EADS a toutefois confirmé que le géant européen n'avait pas un besoin immédiat d'argent frais. « EADS recherchera des ressources externes sur le marché quand cela sera nécessaire. Nous verrons à ce moment-là si nous avons besoin d'augmenter le capital, mais la décision n'a pas été prise aujourd'hui », a déclaré Louis Gallois. Sur le fond, le management s'efforce de dédramatiser la situation financière du groupe, en rappelant qu'il s'appuie notamment sur une trésorerie solide de 4,2 milliards d'euros. « EADS n'est pas en faillite », a martelé Thomas Enders. Alors que les futurs grands partenaires de l'Airbus A350 XWB attendent des décisions en juin, Louis Gallois a évoqué un « financement mixte » pour ce futur long-courrier, dont le coût atteint 10 milliards d'euros. Il n'exclut pas de recourir à des avances remboursables des États européens. Ces dernières devraient être soumises au feu vert de la Commission européenne. Pour le moment, aucune demande en ce sens n'a été faite auprès de Bruxelles. Une telle demande risquerait, selon la Commission, d'affaiblir la position européenne devant l'OMC dans le cadre du double contentieux États-Unis-Europe sur les aides aéronautiques publiques versées à Airbus et Boeing. [/QUOTE]
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