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<blockquote data-quote="paulo" data-source="post: 463673" data-attributes="member: 5327"><p>Noticia do Le Monde....... parece que 30 cazas, serão fabricados no Brasil</p><p></p><p>BRASILIA (Reuters) - Le Brésil annonce son entrée en négociation pour l'acquisition de 36 Rafale d'un coût allant jusqu'à cinq milliards d'euros, ouvrant un premier débouché à l'exportation pour l'avion de combat français qui restait sur plusieurs échecs.</p><p></p><p>L'annonce est intervenue à l'occasion d'une visite de Nicolas Sarkozy, la France ayant concédé pour battre ses rivaux, le F18 américain de Boeing et le Gripen du suédois Saab, des transferts de technologies "sans précédent".</p><p></p><p></p><p></p><p>Venant après l'accord conclu fin décembre, et finalisé récemment, pour la vente à Brasilia de quatre sous-marins classiques, une coque de sous-marin nucléaire et 50 hélicoptères de transport militaires pour plus de six milliards d'euros, ce nouveau contrat fait du géant de l'Amérique latine un des principaux clients de l'industrie de défense française en même temps que son partenaire privilégié.</p><p></p><p>Dans les deux cas, Paris a proposé des dispositifs de coproduction et de transferts technologiques qui ont permis de faire la différence face à la concurrence.</p><p></p><p>S'agissant des Rafale, seuls six seront totalement assemblés en France par son constructeur Dassault Aviation, <strong>les 30 autres devant l'être au Brésil</strong>, a-t-on appris dans l'entourage de Nicolas Sarkozy. Les appareils seront livrés sur une période de six ans à partir de 2013.Le chef de l'Etat, qui a réorganisé depuis deux ans le dispositif de ventes d'armes de la France pour le rendre plus efficace, a joué un rôle de premier plan dans ce contrat au même titre que sa proximité avec son homologue brésilien Luis Inacio Lula da Silva.</p><p></p><p>Au cours d'une conférence de presse, ce dernier a déclaré que la visite de son homologue français marquait "la consolidation d'un partenariat stratégique entre deux peuples qui ont beaucoup de choses en commun".</p><p></p><p>"Nous voulons penser ensemble, créer ensemble, construire ensemble et si possible même vendre ensemble, c'est pour cela que ce partenariat, surtout dans la défense, représente quelque chose de très important", a-t-il dit.</p><p></p><p>6.000 EMPLOIS</p><p></p><p>L'Elysée a déclaré que la valeur du contrat Rafale était comprise entre 4,5 et 5,0 milliards d'euros, un montant que n'a pas confirmé la partie brésilienne qui a seulement indiqué que le prix serait un des éléments de négociation.</p><p></p><p>Pour la présidence française, il représente potentiellement 6.000 emplois en France sur une période de quatre ans. Elle se donne neuf mois, le même temps qu'il a fallu pour finaliser les contrats de sous-marins, pour boucler l'affaire.</p><p></p><p><strong>Parallèlement, la France s'est engagée à acheter dix exemplaires du futur avion de transport militaire KC-390 en projet chez le constructeur brésilien Embraer et à aider celui-ci à le développer. Ce contrat s'élèverait à 500 millions d'euros.</strong></p><p></p><p>Avion multi-rôles dont le programme avait été lancé en 1988, trois ans après le retrait de la France du projet européen Eurofighter, le Rafale est en service depuis 2004 dans la Marine française et depuis 2006 dans l'Armée de l'air.</p><p></p><p>Ce biréacteur a été commandé à ce jour à 120 exemplaires, dont 82 auront été livrés à fin 2009, et ce uniquement en France. Avant le Brésil, il avait été proposé sans succès à la Corée du Sud, à Singapour, aux Pays-Bas, à l'Australie, à l'Arabie saoudite et au Maroc.</p><p></p><p>Il est en lice pour un important contrat en Inde et a suscité de l'intérêt en Grèce et au Koweït. Mais ses chances les plus fortes viennent des Emirats arabes unis, qui souhaitent remplacer 60 Mirage français par des Rafale, à condition que ceux-ci disposent d'une motorisation plus puissante.</p><p></p><p>A terme, Paris estime que le contrat annoncé lundi le mettra en position de force pour poursuivre<strong> la modernisation de l'aviation de combat brésilienne, qui compte 120 appareils.</strong></p><p>Premier chef de l'Etat occidental invité d'honneur de la fête de l'indépendance du Brésil, Nicolas Sarkozy a eu une nouvelle fois l'occasion de constater une grande identité de vues avec Lula sur des sujets comme le G20 ou la réforme de la gouvernance des organisations internationales.</p><p></p><p>Les deux pays sont en outre convenus de parvenir à une position commune pour les négociations de Copenhague sur le climat, fin 2009, et de développer la partie civile de leur partenariat stratégique.</p><p></p><p>Des chefs d'entreprises françaises et brésiliennes se retrouvent mardi à Sao Paulo pour entamer une réflexion commune sur la question. Et des groupes français comme Alstom sont bien placés pour des grands contrats comme le <strong>futur TGV Sao Paulo-Rio de Janeiro (Alstom) ou la relance éventuelle du nucléaire brésilien (Areva).</strong></p></blockquote><p></p>
[QUOTE="paulo, post: 463673, member: 5327"] Noticia do Le Monde....... parece que 30 cazas, serão fabricados no Brasil BRASILIA (Reuters) - Le Brésil annonce son entrée en négociation pour l'acquisition de 36 Rafale d'un coût allant jusqu'à cinq milliards d'euros, ouvrant un premier débouché à l'exportation pour l'avion de combat français qui restait sur plusieurs échecs. L'annonce est intervenue à l'occasion d'une visite de Nicolas Sarkozy, la France ayant concédé pour battre ses rivaux, le F18 américain de Boeing et le Gripen du suédois Saab, des transferts de technologies "sans précédent". Venant après l'accord conclu fin décembre, et finalisé récemment, pour la vente à Brasilia de quatre sous-marins classiques, une coque de sous-marin nucléaire et 50 hélicoptères de transport militaires pour plus de six milliards d'euros, ce nouveau contrat fait du géant de l'Amérique latine un des principaux clients de l'industrie de défense française en même temps que son partenaire privilégié. Dans les deux cas, Paris a proposé des dispositifs de coproduction et de transferts technologiques qui ont permis de faire la différence face à la concurrence. S'agissant des Rafale, seuls six seront totalement assemblés en France par son constructeur Dassault Aviation, [B]les 30 autres devant l'être au Brésil[/B], a-t-on appris dans l'entourage de Nicolas Sarkozy. Les appareils seront livrés sur une période de six ans à partir de 2013.Le chef de l'Etat, qui a réorganisé depuis deux ans le dispositif de ventes d'armes de la France pour le rendre plus efficace, a joué un rôle de premier plan dans ce contrat au même titre que sa proximité avec son homologue brésilien Luis Inacio Lula da Silva. Au cours d'une conférence de presse, ce dernier a déclaré que la visite de son homologue français marquait "la consolidation d'un partenariat stratégique entre deux peuples qui ont beaucoup de choses en commun". "Nous voulons penser ensemble, créer ensemble, construire ensemble et si possible même vendre ensemble, c'est pour cela que ce partenariat, surtout dans la défense, représente quelque chose de très important", a-t-il dit. 6.000 EMPLOIS L'Elysée a déclaré que la valeur du contrat Rafale était comprise entre 4,5 et 5,0 milliards d'euros, un montant que n'a pas confirmé la partie brésilienne qui a seulement indiqué que le prix serait un des éléments de négociation. Pour la présidence française, il représente potentiellement 6.000 emplois en France sur une période de quatre ans. Elle se donne neuf mois, le même temps qu'il a fallu pour finaliser les contrats de sous-marins, pour boucler l'affaire. [B]Parallèlement, la France s'est engagée à acheter dix exemplaires du futur avion de transport militaire KC-390 en projet chez le constructeur brésilien Embraer et à aider celui-ci à le développer. Ce contrat s'élèverait à 500 millions d'euros.[/B] Avion multi-rôles dont le programme avait été lancé en 1988, trois ans après le retrait de la France du projet européen Eurofighter, le Rafale est en service depuis 2004 dans la Marine française et depuis 2006 dans l'Armée de l'air. Ce biréacteur a été commandé à ce jour à 120 exemplaires, dont 82 auront été livrés à fin 2009, et ce uniquement en France. Avant le Brésil, il avait été proposé sans succès à la Corée du Sud, à Singapour, aux Pays-Bas, à l'Australie, à l'Arabie saoudite et au Maroc. Il est en lice pour un important contrat en Inde et a suscité de l'intérêt en Grèce et au Koweït. Mais ses chances les plus fortes viennent des Emirats arabes unis, qui souhaitent remplacer 60 Mirage français par des Rafale, à condition que ceux-ci disposent d'une motorisation plus puissante. A terme, Paris estime que le contrat annoncé lundi le mettra en position de force pour poursuivre[B] la modernisation de l'aviation de combat brésilienne, qui compte 120 appareils.[/B] Premier chef de l'Etat occidental invité d'honneur de la fête de l'indépendance du Brésil, Nicolas Sarkozy a eu une nouvelle fois l'occasion de constater une grande identité de vues avec Lula sur des sujets comme le G20 ou la réforme de la gouvernance des organisations internationales. Les deux pays sont en outre convenus de parvenir à une position commune pour les négociations de Copenhague sur le climat, fin 2009, et de développer la partie civile de leur partenariat stratégique. Des chefs d'entreprises françaises et brésiliennes se retrouvent mardi à Sao Paulo pour entamer une réflexion commune sur la question. Et des groupes français comme Alstom sont bien placés pour des grands contrats comme le [B]futur TGV Sao Paulo-Rio de Janeiro (Alstom) ou la relance éventuelle du nucléaire brésilien (Areva).[/B] [/QUOTE]
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