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Mensaje: <blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 465307" data-attributes="member: 7964">En Francia le siguen dando vueltas al asunto...Contrato F-X2: Dassault promete una transferencia integral de tecnologías a Brasil.Nos quedamos esperando al presidente Lula que anunciara al vencedor de la licitación referida a la compra de 36 aviones de combate destinados a la fuerza aérea brasileña. Finalmente, le dejó este anuncio a Dilma Rousseff, quien viene a sucederlo a la cabeza del Estado.Para este contrato, tres aparatos están en carrera: el Rafale de Dassault Aviation, el F18 Super Hornet de Boeing y el Gripen de la sueca Saab. En septiembre de 2009, con ocasión de una visita oficial de Nicolás Sarkozy a Brasilia, el presidente Lula había hecho notar públicamente su preferencia por el avión francés. La declaración conjunta final, publicada al final del encuentro entre ambos jefes de Estado, fue bastante explícita.Solamente, y como prácticamente todos los asuntos ligados a armamento, este contrato tiene una arista política. Y, sin duda, lo que explica las vacilaciones brasileñas, es que los competidores no se molestaran y salieran apresuradamente, particularmente el constructor francés, que por los dichos vertidos, ha sido forzado a realizar una puesta a punto del ofrecimiento.También, mientras el contrato no ha sido atribuido oficialmente, los tres rivales mantienen una puja encubierta. En noviembre pasado, Saab anunció la construcción, por 50 millones de dólares, de un centro de investigación especializado en aeronáutica, electrónica militar y tecnología ambiental en Sao Bernardo do Acampó, antes de saber si el Gripen iba a ser elegido o no.El constructor Boeing no se quedó atrás ya que le propuso a Embraer ensamblar una parte del F/A-18 así como una decena de colaboraciones, una de ellas concerniente a su avión de transporte KC-390, el cual fue objeto de un compromiso de compra por parte de Francia durante la visita del presidente Sarkozy a Brasil en el verano de 2009.¿Y Dassault Aviation en todo esto? Según su director general internacional, Eric Trappier, el constructor francés está dispuesto «a transferir el 100 % del conjunto de las tecnologías civiles y militares del Rafale a Brasil». Es por lo menos lo que él afirmó el 5 de febrero.«Recibimos la autorización gubernamental y podemos comprometernos a aportar al “ajuar de la novia” todas las tecnologías en el marco de las colaboraciones estratégicas con sociedades brasileñas» precisó. Es evidente que esto valdrá sólo si el contrato es firmado, lo que todavía podría tomar más tiempo ya que la presidenta Dilma Rousseff dio a conocer su intención de ver nuevamente el total del expediente.Y así como la cuestión de la transferencia de tecnologías es la llave de este contrato, comprendemos mejor la promesa hecha por Dassault. Y para hundir el clavo, el consorcio Rafale en Brasil, que también comprende a Thales y Safran, piensa sellar colaboraciones con empresas brasileñas, particularmente en Sao Bernardo do Campo, allí donde Saab decidió establecer su centro de investigación.Fuente: OPEX 360 7 de febrero de 2011Traducción propia.Contrat F-X2: Dassault promet un transfert intégral de technologies au Brésil.L’on s’attendait à ce que le président Lula qui annonce le vainqueur de l’appel d’offres portant sur l’achat de 36 avions de combat destinés aux forces aériennes brésiliennes. Finalement, il a laissé ce soin à Dilma Rousseff, celle qui vient de lui succeder à la tête de l’Etat.Pour ce contrat, trois appareils sont en lice: le Rafale de Dassault Aviation, le F18 Super Hornet de Boeing et le Gripen du suédois Saab. En septembre 2009, à l’occasion d’une visite officielle de Nicolas Sarkozy à Brasilia, le président Lula avait publiquement marqué sa préférence pour l’avion français. La déclaration conjointe finale, publiée à l’issue de la rencontre entre les deux chefs d’Etat, est assez explicite.Seulement, et comme pratiquement toutes les affaires liées à l’armement, ce contrat a une portée politique. Et c’est, sans doute, ce qui explique les tergiversations brésiliennes, d’autant plus que les concurrents ne se sont pas gênés pour se tirer dans les pattes, et plus particulièrement dans celles du constructeur français, à telle enseigne que ce dernier a été contraint de faire une mise au point.Aussi, tant que le contrat n’a pas été officiellement attribué, les trois rivaux font dans la surenchère. En novembre dernier, Saab a annoncé la construction – pour 50 millions de dollars – d’un centre de recherche spécialisé dans l’aéronautique, l’électronique militaire et la technologie environnementale à Sao Bernardo do Campa, avant même de savoir si le Gripen allait être choisi ou non.Le constructeur Boeing n’a pas été en reste non plus puisqu’il a proposé à Embraer d’assembler une partie du F/A-18 ainsi qu’une dizaine de partenariats, dont un concernerait l’avion de transport KC-390, lequel a fait l’objet d’une promesse d’achat par la France lors de la visite du président Sarkozy au Brésil de l’été 2009.Et Dassault Aviation dans tout ça? Selon son directeur général international du groupe, Eric Trappier, le constructeur français est prêt «à transférer 100% de l’ensemble des technologies civiles et militaires du Rafale au Brésil». C’est du moins ce qu’il a affirmé le 5 février.«Nous avons reçu l’autorisation gouvernementale et pouvons nous engager à apporter dans la corbeille de la mariée toutes les technologies dans le cadre de partenariats stratégiques avec des sociétés brésiliennes » a-t-il précisé. Bien évidemment, cela ne vaudra que si le contrat est signé, ce qui pourrait prendre encore du temps étant donné que la présidente Dilma Rousseff a fait savoir son intention de revoir entièrement le dossier.Et comme la question du transfert de technologies est la clé de ce contrat, l’on comprend mieux la promesse faite par Dassault. Et pour enfoncer le clou, le consortium Rafale au Brésil, qui comprend également Thales et Safran, compte nouer des partenariats avec des entreprises brésiliennes, notamment à Sao Bernardo do Campo, là-même où Saab a décidé d’implanter son centre de recherche.OPEX 360 7 février 2011</blockquote>

Verificación: Guerra desarrollada entre Argentina y el Reino Unido en 1982