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Mensaje: <blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 906299" data-attributes="member: 7964">Como la mayoría de las cosas se sabe cuando empiezan pero no cuando terminan.Desde Libia a Yemen, las manifestaciones no se debilitan.Marruecos.El domingo, varios miles de personas tomaron parte de las manifestaciones, particularmente en el centro de Casablanca y Rabat, con el fin de reclamar reformas políticas y una limitación al poder del rey."Libertad, dignidad, justicia", vociferaban los manifestantes en Casablanca, mientras que grupos de izquierda pedían "menos poder a la monarquía". "El rey debe reinar y no gobernar" o "el pueblo quiere una nueva Constitución", proclamaban en pancartas. En Rabat, bajo una llovizna, más de 2.000 personas, 4.000 según los organizadores, manifestaban en los cánticos: "El pueblo quiere el cambio".Libia.Por lo menos 173 personas han resultado muertas en Libia desde el principio de las manifestaciones según Human Rights Watch, mientras que el movimiento de rebelión contra el coronel Muammar Kadhafi, en el poder desde hace 42 años, comenzó el domingo a manifestarse en Trípoli.La mayoría de las víctimas han muerto en Bengazi, la segunda ciudad del país a 1.000 km al este de Trípoli, pero según testigos, el sábado estallaron ataques sangrientos en Musratha, a 200 km al este de la capital.En la capital libia, la tensión era perceptible el domingo. Decenas de abogados participaron en una “sentada” de protesta contra la represión frente a la corte suprema, según testigos y sitios de la oposición. Han sido cercados por policías mientras que periodistas y transeúntes fueron mantenidos apartados.Yemen.Partidarios del presidente yemení Ali Abdallah Saleh intentaron el domingo oponerse a una manifestación de la oposición y se produjeron disparos, en el noveno día de las protestas inspiradas por los ejemplos tunecinos y egipcios. Unos cincuenta militantes favorables al régimen atacó a un grupo de miles de opositores qué gritaban "Fuera, Ali!" frente a la universidad de la capital.En el mismo momento, la oposición parlamentaria en Yemen anunció su decisión de juntarse con el movimiento de protesta. "No habrá diálogo mientras haya tiros y garrotazos, ningún diálogo con un poder que reúne a los mercenarios y a los matones para ocupar los espacios públicos y aterroriza a la población", afirmaron en un comunicado los líderes de la oposición.Bahrëin.La oposición de Bahreïn anunció el domingo, abordar con prudencia el diálogo con el príncipe heredero en reformas políticas y continúa poniendo como condición previa la dimisión del gobierno, responsable según ella, de la represión sangrienta de la manifestación popular.Sobre el terreno, miles de manifestantes afluían hacia la plaza la Perla, en el centro de Manama, reconquistado el sábado después de la retirada del ejército y la policía, y donde los sindicatos tienen previsto organizar una reunión por la tarde.La unión general de los sindicatos de Bahreïn anunció, casi al mediodía del domingo, haber levantado su amenaza de huelga general, considerando que sus peticiones de una retirada del ejército de Manama y el derecho de manifestarse han sido satisfechas. "En consecuencia de los últimos acontecimientos, la unión decidió llamar a la reanudación del trabajo a partir del lunes", indicó la central sindical en un comunicado.Túnez.Miles de tunecinos se manifestaban el domingo en Tunisia, para reclamar la dimisión del gobierno de transición dirigido por Mohamed Ghannouchi, por la elección de una asamblea constituyente y un sistema parlamentario gritando "Fuera el gobierno de Ghannouchi!"Fuente: Le Monde, AFP y Reuters 20.02.2011Traducción propia.De la Libye au Yémen, la contestation ne faiblit pas.Maroc.Dimanche, plusieurs milliers de personnes ont pris part aux manifestations, notamment dans le centre de Casablanca et à Rabat, afin de réclamer des réformes politiques et une limitation des pouvoirs du roi."Liberté, dignité, justice", scandaient des manifestants à Casablanca, tandis que des groupes de gauche demandaient "moins de pouvoirs à la monarchie". "Le roi doit régner et non gouverner" ou "le peuple veut une nouvelle Constitution", proclamaient des banderoles. A Rabat, sous une pluie fine, plus de 2 000 personnes - 4 000 selon les organisateurs, manifestaient en scandant: "Le peuple veut le changement".Libye.Au moins 173 personnes ont été tuées en Libye depuis le début de la contestation mardi selon Human Rights Watch alors que le mouvement de révolte contre le colonel Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis bientôt 42 ans, a commencé dimanche à toucher Tripoli.La plupart des victimes ont été tuées à Benghazi, deuxième ville du pays à 1.000 km à l'est de Tripoli, mais selon des témoins, des heurts sanglants ont éclaté samedi à Musratha, à 200 km à l'est de la capitale.Dans la capitale libyenne, la tension était perceptible dimanche. Des dizaines d'avocats ont participé à un sit-in de protestation contre la répression devant le tribunal, selon des témoins et des sites d'opposition. Ils ont été cernés par des policiers alors que journalistes et passants étaient tenus à l'écart.Yémen.Des partisans du président yéménite Ali Abdallah Saleh ont tenté dimanche de s'opposer à une manifestation de l'opposition et des coups de feu ont éclaté, au neuvième jour de la contestation inspirée par les exemples tunisien et égyptien. Une cinquantaine de militants favorables au régime ont attaqué un rassemblement d'un millier d'opposants qui scandaient "Dégage, Ali !" devant l'université de la capitale.Dans le même temps, l'opposition parlementaire au Yémen a annoncé sa décision de se joindre au mouvement de contestation. "Il n'y aura pas de dialogue avec les balles et les matraques, pas de dialogue avec un pouvoir qui rassemble les mercenaires et les casseurs pour occuper les places publiques (...) et terroriser la population", ont affirmé dans un communiqué les leaders de l'opposition.Bahrëin.L'opposition bahreïnie a annoncé, dimanche, aborder avec prudence le dialogue avec le prince héritier sur des réformes politiques et continue de poser comme préalable la démission du gouvernement responsable selon elle de la répression sanglante de la contestation populaire.Sur le terrain, des milliers de protestataires affluaient sur la place de la Perle, au centre de Manama, reconquise samedi après le retrait de l'armée et de la police, et où des syndicats envisagent d'organiser un rassemblement dans l'après-midi.L'union générale des syndicats de Bahreïn a annoncé, en fin de matinée dimanche, avoir levé son mot d'ordre de grève générale, estimant que ses demandes d'un retrait de l'armée de Manama et du droit de manifester ont été satisfaites. "A la suite des derniers développements (...), l'union a décidé (...) d'appeler à la reprise du travail à partir de lundi", a indiqué la centrale syndicale dans un communiqué.Tunisie.Quelques milliers de Tunisiens manifestaient, dimanche à Tunis, pour réclamer la démission du gouvernement de transition dirigé par Mohamed Ghannouchi, l'élection d'une assemblée constituante et un système parlementaire en criant "Gouvernement de Ghannouchi dégage!"Le Monde avec AFP et Reuters 20.02.2011</blockquote>

Verificación: Libertador de Argentina