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<blockquote data-quote="Pata1" data-source="post: 814990" data-attributes="member: 6810"><p>Diario Liberation, hoy:</p><p></p><p>17/09/2009</p><p>Analyse: quatre remarques sur l'abandon du bouclier antimissile</p><p>La décision du président Obama de renoncer à déployer un bouclier antimissile en Europe centrale appelle au moins quatre remarques. </p><p></p><p>1) La défense antimissile continue. Ce qui n'est abandonné n'est qu'une brique du vaste programme de National Missile Defense, qui se poursuit. Washington renonce à déployer un radar à longue portée en Tchéquie et une batterie de dix missiles antimissiles en Pologne, qui devaient protéger les Etats-Unis contre des tirs balistiques iraniens. [Pour compenser cet abandon, Obama a promis le déployement de croiseur type Aegis, disposant de capacités antimissiles. Des missiles Patriot seront installés en Pologne.] Le positionnement de ses installations s'expliquait... par le fait que la Terre est ronde : le plus court chemin entre Téhéran et Washington passe au dessus de l'Europe centrale.</p><p></p><p>2) Un geste envers Moscou. Depuis le début, la Russie est vent debout contre ce programme. Elle y voyait une menace contre elle. Menace militaire, avec un radar très puissant installé à ses portes. Menace géopolitique surtout, avec l'arrimage stratégique de la Pologne et de la Tchéquie au système de défense américain. Pour Moscou, il s'agissait d'un pas supplémentaire après l'élargissement de l'Otan vers l'est. Or, la détente avec la Russie fait partie des priorités politiques d'Obama. Les affaires stratégiques sont un bon thème de discussion entre les deux pays, l'un des seuls où ils se parlent presque d'égal à égal. Le calendrier diplomatique facilite lui aussi les choses: deux traités importants arrivent à échéance rapidement, START (limitation des armements stratégiques) en décembre 2009 et le TNP (Traité de non-prolifération nucléaire) en 2010. Les deux pays ont intérêt à réduire leurs arsenaux nucléaires, qui représentent 95% des armes mondiales. Et Washington a besoin de Moscou, en Afghanstan, mais aussi dans les discussions sur l'Iran.</p><p></p><p>3) Un autre geste envers Téhéran. Renoncer à un système, certes défensif, mais tourné principalement contre l'Iran, est évidemment un geste de détente envers ce pays. La main de l'Amérique reste tendue, même à Ahmadinejab. </p><p></p><p>4) Un camouflet pour l'Europe de l'Est. Les gouvernements polonais et tchèques, très pro-américains comme tous les anciens pays communistes, se sentent trahis par Washington au profit du grand voisin russe, toujours craint et souvent cordialement détesté. On est loin de l'ère Bush et de l'exaltation de la "nouvelle Europe". Autre symbole de ce désintérêt d'Obama, son absence prévue aux cérémonies du vingtième anniversaires de la chute du Mur de Berlin. La fin de la guerre froide fut pourtant une grande victoire américaine</p><p></p><p></p><p>17/09/2009 </p><p>Análisis: cuatro observaciones sobre el abandono del escudo antimisil. La decisión del Presidente Obama de renunciar desplegar un escudo antimisil en Europa Central suscita al menos cuatro observaciones. </p><p>1) La defensa antimisil continua. Lo que no se abandona no es que un ladrillo extenso del programa de Nacional Misil Defensa, que se continúa. Washington renuncia a desplegar un radar a largo alcance en República Checa y una batería de diez misiles antimisiles en Polonia, que debían proteger Estados Unidos contra tiros balísticos iraníes. [Para compensar este abandono, Obama prometió el desplazamiento / ubicacion de crucero modelo Aegis, disponiendo de capacidades antimisiles. Se instalarán algunos misiles Patriot en Polonia.] La localización de sus instalaciones se explicaba… por el hecho de que la Tierra es redonda: el más corto camino entre Teherán y Washington pasa sobre Europa Central. </p><p>2) Un gesto hacia Moscú. Desde el principio, Rusia es viento en contra este programa. Había una amenaza contra ella. Amenaza militar, con un radar muy potente instalado en sus puertas. Amenaza geopolítico sobre todo, con la posición estratégica de Polonia y República Checa al sistema de defensa americano. Para Moscú, se trataba de un paso suplementario después de la ampliación de l' OTAN hacia el este. Ahora bien, la distensión con Rusia forma parte de las prioridades políticas de Obama. Los asuntos estratégicos son un buen tema de debate entre los dos países, uno de los únicos donde se hablan casi de igual a igual. El calendario diplomático lo facilita lo también las cosas: dos Tratados importantes expiran rápidamente, START (limitación de los armamentos estratégicos) en diciembre de 2009 y el TNP (Tratado de no proliferación nuclear) en 2010. Los dos países tienen interés en reducir sus arsenales nucleares, que representan un 95% de las armas mundiales. Y Washington necesita Moscú, en Afghanstan, y también en los debates sobre Irán. </p><p>3) Otro gesto hacia Teherán. Renunciar a un sistema, ciertamente defensivo, pero vuelto principalmente contra Irán, es obviamente un gesto de distensión hacia este país. La mano de América sigue siendo tensa, incluso a Ahmadinejab. </p><p>4) Una afrenta para la Europa del Este. Los Gobiernos polacos y checos, muy pro americanos al igual que los antiguos países comunistas, se sienten traicionados por Washington en favor de el gran vecino ruso, siempre temido y a menudo cordialmente odiado. Se dista mucho de la era Bush y de la exaltación del " noticia Europe". Otro símbolo de este desinterés de Obama, su ausencia prevista a las ceremonias de los vigésimos aniversarios de la caída del Muro de Berlín. El final de la guerra fría fue con todo una gran victoria americana.</p><p></p><p>Slds</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Pata1, post: 814990, member: 6810"] Diario Liberation, hoy: 17/09/2009 Analyse: quatre remarques sur l'abandon du bouclier antimissile La décision du président Obama de renoncer à déployer un bouclier antimissile en Europe centrale appelle au moins quatre remarques. 1) La défense antimissile continue. Ce qui n'est abandonné n'est qu'une brique du vaste programme de National Missile Defense, qui se poursuit. Washington renonce à déployer un radar à longue portée en Tchéquie et une batterie de dix missiles antimissiles en Pologne, qui devaient protéger les Etats-Unis contre des tirs balistiques iraniens. [Pour compenser cet abandon, Obama a promis le déployement de croiseur type Aegis, disposant de capacités antimissiles. Des missiles Patriot seront installés en Pologne.] Le positionnement de ses installations s'expliquait... par le fait que la Terre est ronde : le plus court chemin entre Téhéran et Washington passe au dessus de l'Europe centrale. 2) Un geste envers Moscou. Depuis le début, la Russie est vent debout contre ce programme. Elle y voyait une menace contre elle. Menace militaire, avec un radar très puissant installé à ses portes. Menace géopolitique surtout, avec l'arrimage stratégique de la Pologne et de la Tchéquie au système de défense américain. Pour Moscou, il s'agissait d'un pas supplémentaire après l'élargissement de l'Otan vers l'est. Or, la détente avec la Russie fait partie des priorités politiques d'Obama. Les affaires stratégiques sont un bon thème de discussion entre les deux pays, l'un des seuls où ils se parlent presque d'égal à égal. Le calendrier diplomatique facilite lui aussi les choses: deux traités importants arrivent à échéance rapidement, START (limitation des armements stratégiques) en décembre 2009 et le TNP (Traité de non-prolifération nucléaire) en 2010. Les deux pays ont intérêt à réduire leurs arsenaux nucléaires, qui représentent 95% des armes mondiales. Et Washington a besoin de Moscou, en Afghanstan, mais aussi dans les discussions sur l'Iran. 3) Un autre geste envers Téhéran. Renoncer à un système, certes défensif, mais tourné principalement contre l'Iran, est évidemment un geste de détente envers ce pays. La main de l'Amérique reste tendue, même à Ahmadinejab. 4) Un camouflet pour l'Europe de l'Est. Les gouvernements polonais et tchèques, très pro-américains comme tous les anciens pays communistes, se sentent trahis par Washington au profit du grand voisin russe, toujours craint et souvent cordialement détesté. On est loin de l'ère Bush et de l'exaltation de la "nouvelle Europe". Autre symbole de ce désintérêt d'Obama, son absence prévue aux cérémonies du vingtième anniversaires de la chute du Mur de Berlin. La fin de la guerre froide fut pourtant une grande victoire américaine 17/09/2009 Análisis: cuatro observaciones sobre el abandono del escudo antimisil. La decisión del Presidente Obama de renunciar desplegar un escudo antimisil en Europa Central suscita al menos cuatro observaciones. 1) La defensa antimisil continua. Lo que no se abandona no es que un ladrillo extenso del programa de Nacional Misil Defensa, que se continúa. Washington renuncia a desplegar un radar a largo alcance en República Checa y una batería de diez misiles antimisiles en Polonia, que debían proteger Estados Unidos contra tiros balísticos iraníes. [Para compensar este abandono, Obama prometió el desplazamiento / ubicacion de crucero modelo Aegis, disponiendo de capacidades antimisiles. Se instalarán algunos misiles Patriot en Polonia.] La localización de sus instalaciones se explicaba… por el hecho de que la Tierra es redonda: el más corto camino entre Teherán y Washington pasa sobre Europa Central. 2) Un gesto hacia Moscú. Desde el principio, Rusia es viento en contra este programa. Había una amenaza contra ella. Amenaza militar, con un radar muy potente instalado en sus puertas. Amenaza geopolítico sobre todo, con la posición estratégica de Polonia y República Checa al sistema de defensa americano. Para Moscú, se trataba de un paso suplementario después de la ampliación de l' OTAN hacia el este. Ahora bien, la distensión con Rusia forma parte de las prioridades políticas de Obama. Los asuntos estratégicos son un buen tema de debate entre los dos países, uno de los únicos donde se hablan casi de igual a igual. El calendario diplomático lo facilita lo también las cosas: dos Tratados importantes expiran rápidamente, START (limitación de los armamentos estratégicos) en diciembre de 2009 y el TNP (Tratado de no proliferación nuclear) en 2010. Los dos países tienen interés en reducir sus arsenales nucleares, que representan un 95% de las armas mundiales. Y Washington necesita Moscú, en Afghanstan, y también en los debates sobre Irán. 3) Otro gesto hacia Teherán. Renunciar a un sistema, ciertamente defensivo, pero vuelto principalmente contra Irán, es obviamente un gesto de distensión hacia este país. La mano de América sigue siendo tensa, incluso a Ahmadinejab. 4) Una afrenta para la Europa del Este. Los Gobiernos polacos y checos, muy pro americanos al igual que los antiguos países comunistas, se sienten traicionados por Washington en favor de el gran vecino ruso, siempre temido y a menudo cordialmente odiado. Se dista mucho de la era Bush y de la exaltación del " noticia Europe". Otro símbolo de este desinterés de Obama, su ausencia prevista a las ceremonias de los vigésimos aniversarios de la caída del Muro de Berlín. El final de la guerra fría fue con todo una gran victoria americana. Slds [/QUOTE]
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