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Mensaje: <blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 1093624" data-attributes="member: 7964">La OTAN quiere extender el dispositivo de milicias locales en Afganistán.Cuando el general norteamericano Davis Petraeus tomó el mando de la Fuerza Internacional de Asistencia a la Seguridad (ISAF), desplegada en Afganistán bajo la autoridad de la OTAN, procuró aplicar la mayoría de las recetas que había sostenido en Irak para reducir, con éxito, la actividad de los grupos jihadistas.Además, en agosto del 2010, el general Petraeus quiso reproducir los que se había hecho con las milicias Sahwa en Irak, las que, provenientes de tribus sunitas, se armaron contra los militantes cercanos a la órbita de influencia de al-Qaeda.De aquí surge su proposición al presidente Hamid Karzaï de instruir y armar a aldeanos para que puedan defenderse contra los insurgentes. Dos primeras milicias locales fueron formadas en las provincias de Wardak y de Uruzgan, bajo el nombre de Policía Local Afgana (ALP). Estas unidades dependen del ministerio del Interior afgano. El objetivo, en esa época, era reclutar a 10.000 hombres, con una remuneración equivalente al 60% de lo que percibe un policía "nacional".Visiblemente, este dispositivo parece dar resultados. La ALP es «el elemento más crítico de nuestros esfuerzos para ayudar a Afganistán a desarrollar la capacidad de otorgarse su propia seguridad» había considerado el general Petraeus, en marzo pasado.De aquí es que, según la agencia Reuters, el deseo de la OTAN de extenderlo en otras provincias afganas. «El programa debería ser extendido y prolongado» confió así un responsable de la ISAF. «Nuestro objetivo es mantener una cuota de 30.000 ALP» confirmó un portavoz de la coalición.Sólo que, estos "milicianos" o "policías locales", están sujetos a polémicas y sus acciones son controvertidas. «Son iletrados y drogadictos los que están en esta policía. Ellos controlan los caminos y no podemos salir de nuestras casas cuando cae la noche» confió al Journal du Dimanche (edición del 3 de diciembre), un mullah que deseó quedar bajo anonimato y cuyo sobrino, estudiante de economía en la universidad de Kabul, fue asesinado en un check point.El hecho es que, en septiembre, la organización Human Rights Watch produjo un informe titulado «No diga sobre todo que es una milicia», en el cual acusó a la ALP de cometer exacciones y violaciones de derechos humanos con total impunidad.Fuente: OPEX 360 13 de diciembre de 2011Traducción propia..L’Otan veut étendre le dispositif des milices locales en Afghanistan.Quand le général américain Davis Petraeus a pris le commandement de la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF), déployée en Afghanistan sous l’autorité de l’Otan, il a cherché à appliquer la plupart des recettes qu’il avait préconisées en Irak pour y réduire, avec succès, l’activité des groupes jihadistes.Aussi, en août 2010, le général Petraeus a voulu reproduire ce qui avait été fait avec les milices Sahwa en Irak, qui, issues des tribus sunnites, prirent les armes contre les militants proches de la mouvance d’al-Qaïda.D’où sa proposition au président Hamid Karzaï de former et d’armer des villageois pour qu’ils puissent se défendre contre les insurgés. Deux premières milices locales ont alors été formées dans les province du Wardak et de l’Uruzgan, sous le nom d’Afghan Local Police (ALP). Ces unités dépendent du ministère afghan de l’Intérieur. L’objectif, à l’époque, était de recruter 10.000 hommes, avec une rémunération équivalente à celle de 60% d’un policier «national».Visiblement, ce dispositif semble donner des résultats. L’ALP est «l’élément le plus critique de nos efforts pour aider l’Afghanistan à développer la capacité à assurer sa propre sécurité» avait même estimé le général Petraeus, en mars dernier.D’où, d’après l’agence de Reuters, le souhait de l’Otan de l’étendre à d’autres provinces afghanes. «Le programme devrait être étendu et prolongé» a ainsi confié un responsable de l’ISAF. «Notre objectif reste d’avoir un quota de 30.000 ALP» a confirmé un porte-parole de la coalition.Seulement, ces «miliciens» (ou «policiers locaux»), sont sujets aux polémiques et leurs actions sont controversées. «Ce sont des illétrés, des drogués qui sont dans cette police. Ils contrôlent les routes et on ne peut pas sortir de chez soi quand la nuit est tombée» a ainsi confié, au Journal du Dimanche (édition du 3 décembre), un mollah qui a souhaité rester anonyme et dont un neveu, étudiant en économie à l’université de Kaboul, a été abattu à un barrage.Le fait est, en septembre, l’organisation Human Rights Watch a produit un rapport intitulé «Ne dites surtout pas que c’est une milice», dans lequel elle a accusé l’ALP de commettre des exactions et des violations des droits de l’homme en toute impunité.OPEX 360 13 décembre 2011 .</blockquote>

Verificación: Guerra desarrollada entre Argentina y el Reino Unido en 1982