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<blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 837454" data-attributes="member: 7964"><p><strong>El presidente afgano quiere tenderles una mano a los talibanes.</strong></p><p></p><p><strong><span style="font-size: 15px">El presidente afgano quiere tenderles una mano a los talibanes. / Le président afghan veut tendre la main aux talibans.</span></strong> </p><p></p><p><strong><em>Hamid Karzaï va a proponer un plan de reconciliación nacional, el jueves, en la conferencia de Londres.</em></strong></p><p></p><p>Invitado estrella de la conferencia sobre Afganistán que se efectuará el jueves en Londres, Hamid Karzaï intentará imponer su nueva estrategia de "reconciliación" con los talibanes "moderados". El presidente afgano espera incitarlos a deponer las armas. «Los talibanes que no son miembros de al-Qaeda o de otra red terrorista son bienvenidos si quieren volver al país, deponer las armas y recuperar una vida normal», afirmó. Tiene la intención de pedir que ciertos talibanes sean retirados de la lista de sanciones de la ONU, creada en 1999. Reunidos en Estambul para una minicumbre, los países vecinos de Afganistán y Turquía aprobaron el plan Karzaï.</p><p>La iniciativa también es animada por los americanos, que buscan una puerta de salida en Afganistán y les gustaría iniciar la retirada de sus tropas para el 2011. Persuadido que la solución militar no puede bastar para vencer a los talibanes, el general McChrystal, comandante de las fuerzas internacionales en Afganistán, lo dijo sin ambages el lunes al Financial Times: «Como soldado, pienso que hubo bastantes combates y creo que una solución política, como en todos los conflictos, es inevitable». En cuanto al emisario americano Richard Holbrooke, él afirmó que las grandes potencias sostendrían la proposición del presidente afgano si los talibanes concernidos en el plan, se distancian de al-Qaeda.</p><p>Nuevamente, los americanos se inspiran en el ejemplo iraquí, cuando un cambio de estrategia había permitido reunir a las tribus sunitas a partir de 2006 y volverlas contra al-Qaeda. El portavoz de la Casa Blanca, Robert Gibbs, se muestra a favor de un «progreso similar» para Afganistán. En Kabul, como en Washington, la idea de promover una suerte de reparto del poder con los talibanes es considerada en lo sucesivo como una estrategia de salida. «Todo afgano puede jugar un papel si hace foco en el futuro y no en el pasado», afirma Hamid Karzaï.</p><p></p><p><strong>El papel clave de Pakistán.</strong></p><p></p><p>Las tentativas precedentes no dieron, sin embargo, nunca nada. La insurrección es más fuerte que nunca desde el 2001, los talibanes siempre rechazaron la mano extendida por un gobierno corrompido, que consideran como un títere de los Estados Unidos. ¿Por qué las cosas serían diferentes hoy? Porque Pakistán entraría esta vez en el baile. Los servicios de información paquistaníes, que participaron ampliamente en la creación de los talibanes afganos en los años 1990, habrían aceptado tratar de convencer a los insurrectos a negociar. A cambio, Pakistán pediría concesiones a Washington, un empujón en su rivalidad con la India sobre la región de Cachemira o un espacio de influencia en Afganistán, considerada como esencial para su «profundidad estratégica».</p><p>El general McChrystal cuenta también con el refuerzo de 30.000 soldados destinado a mostrar la determinación americana, para provocar un efecto psicológico entre los insurrectos y convencerlos a aceptar una paz negociada. «Muchos jefes rebeldes sin ideología, para los que al-Qaeda es sólo una etiqueta, están cansados y preparados para negociar. Sobre todo si se les paga y les damos trabajo. De todos modos, la solución final pasará forzosamente por ahí», explica un oficial relacionado con Afganistán.</p><p>¿La "mayonesa" no se cortará? Si se cree en las recientes advertencias del embajador americano en Kabul, que el New York Times se proporcionó una copia el martes, el aumento de las tropas hace peligrar, mejor dicho, contrarresta el esfuerzo de guerra, agravando la dependencia del gobierno de Karzaï de los Estados Unidos. «Enviar tropas suplementarias sólo desplazará el día de la devolución del poder a los afganos y hace difícil, incluso imposible, la vuelta de nuestros hombres en un plazo razonable», escribía el diplomático a finales de 2009.</p><p></p><p><em>Fuente</em>: Isabelle Lasserre para Le Figaro</p><p>Traducción propia.</p><p></p><p></p><p></p><p></p><p><strong><span style="font-size: 12px">Le président afghan veut tendre la main aux talibans.</span></strong> </p><p></p><p>Hamid Karzaï était à Istanbul, mardi, pour un mini-sommet réunissant les pays voisins de l'Afghanistan, qui ont approuvé son plan. Crédits photo : AP </p><p>Hamid Karzaï va proposer un plan de réconciliation nationale, jeudi à la conférence de Londres.</p><p>Invité vedette de la conférence sur l'Afghanistan qui aura lieu jeudi à Londres, Hamid Karzaï tentera d'imposer sa nouvelle stratégie de «réconciliation» avec les talibans «modérés». Le président afghan espère les inciter à déposer les armes. «Ceux d'entre les talibans qui ne sont pas membres d'al-Qaida ou d'un autre réseau terroriste sont les bienvenus s'ils veulent rentrer dans leur pays, déposer les armes et reprendre une vie (normale)», a-t-il affirmé. Il a l'intention de demander que certains talibans soient retirés de la liste de sanctions de l'ONU, créée en 1999. Réunis à Istanbul pour un mini-sommet, les pays voisins de l'Afghanistan et la Turquie ont approuvé le plan Karzaï.</p><p>L'initiative est aussi encouragée par les Américains, qui cherchent une porte de sortie en Afghanistan et aimeraient amorcer le retrait de leurs troupes dès 2011. Persuadé que la solution militaire ne peut suffire pour vaincre les talibans, le général McChrystal, commandant des forces internationales en Afghanistan, l'a dit sans ambages lundi au Financial Times : «En tant que soldat, je pense qu'il y a eu assez de combats et je crois qu'une solution politique, comme dans tous les conflits, est inévitable.» Quant à l'émissaire américain Richard Holbrooke, il a affirmé que les grandes puissances soutiendraient la proposition du président afghan si les talibans concernés prenaient leurs distances avec al-Qaida. </p><p>Une nouvelle fois, les Américains s'inspirent de l'exemple irakien, lorsqu'un changement de stratégie avait permis de rallier les tribus sunnites à partir de 2006 et de les retourner contre al-Qaida. Le porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, se dit favorable à un «cheminement similaire» pour l'Afghanistan. À Kaboul, comme à Washington, l'idée de promouvoir une sorte de partage du pouvoir avec les talibans est désormais considérée comme une stratégie de sortie. «Tout afghan peut jouer un rôle s'il se focalise sur l'avenir et non sur le passé», affirme Hamid Karzaï.</p><p></p><p><strong>Le rôle clé du Pakistan.</strong></p><p></p><p>Les précédentes tentatives n'ont pourtant jamais rien donné. L'insurrection étant plus forte qu'elle ne l'a jamais été depuis 2001, les talibans ont toujours refusé la main tendue par un gouvernement corrompu, qu'ils considèrent comme une marionnette des États-Unis. Pourquoi les choses seraient-elles différentes aujourd'hui ? Parce que le Pakistan entrerait cette fois dans la danse. Les services de renseignements pakistanais, qui ont largement participé à la création des talibans afghans dans les années 1990, auraient accepté d'essayer de convaincre les insurgés de négocier. En échange, le Pakistan demanderait des concessions à Washington, un coup de pouce dans sa rivalité avec l'Inde sur le Cachemire ou un espace d'influence en Afghanistan, considéré comme essentiel à sa «profondeur stratégique».</p><p>Le général McChrystal compte aussi sur le surge, le renfort de 30 000 soldats américains destiné à montrer la détermination américaine, pour provoquer un effet psychologique chez les insurgés et les convaincre d'accepter une paix négociée. «Beaucoup de chefs rebelles sans idéologie, pour qui al-Qaida n'est guère qu'un label, sont fatigués et prêts à négocier. Surtout si on les paye et qu'on leur donne du travail. De toute façon, la solution finale passera forcément par là», explique un officier familier de l'Afghanistan.</p><p>La «mayonnaise» prendra-t-elle ? Si l'on en croit les récents avertissements de l'ambassadeur américain à Kaboul, dont le New York Times s'est procuré mardi copie, l'augmentation des troupes risque plutôt de contrecarrer l'effort de guerre en aggravant la dépendance du gouvernement Karzaï vis-à-vis des États-Unis. «Envoyer des troupes supplémentaires ne fera que décaler le jour de la passation de pouvoir aux Afghans et rendre difficile, voire impossible, le retour de nos hommes dans un délai raisonnable», écrivait le diplomate fin 2009.</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="HernanF, post: 837454, member: 7964"] [b]El presidente afgano quiere tenderles una mano a los talibanes.[/b] [B][SIZE="4"]El presidente afgano quiere tenderles una mano a los talibanes. / Le président afghan veut tendre la main aux talibans.[/SIZE][/B] [B][I]Hamid Karzaï va a proponer un plan de reconciliación nacional, el jueves, en la conferencia de Londres.[/I][/B] Invitado estrella de la conferencia sobre Afganistán que se efectuará el jueves en Londres, Hamid Karzaï intentará imponer su nueva estrategia de "reconciliación" con los talibanes "moderados". El presidente afgano espera incitarlos a deponer las armas. «Los talibanes que no son miembros de al-Qaeda o de otra red terrorista son bienvenidos si quieren volver al país, deponer las armas y recuperar una vida normal», afirmó. Tiene la intención de pedir que ciertos talibanes sean retirados de la lista de sanciones de la ONU, creada en 1999. Reunidos en Estambul para una minicumbre, los países vecinos de Afganistán y Turquía aprobaron el plan Karzaï. La iniciativa también es animada por los americanos, que buscan una puerta de salida en Afganistán y les gustaría iniciar la retirada de sus tropas para el 2011. Persuadido que la solución militar no puede bastar para vencer a los talibanes, el general McChrystal, comandante de las fuerzas internacionales en Afganistán, lo dijo sin ambages el lunes al Financial Times: «Como soldado, pienso que hubo bastantes combates y creo que una solución política, como en todos los conflictos, es inevitable». En cuanto al emisario americano Richard Holbrooke, él afirmó que las grandes potencias sostendrían la proposición del presidente afgano si los talibanes concernidos en el plan, se distancian de al-Qaeda. Nuevamente, los americanos se inspiran en el ejemplo iraquí, cuando un cambio de estrategia había permitido reunir a las tribus sunitas a partir de 2006 y volverlas contra al-Qaeda. El portavoz de la Casa Blanca, Robert Gibbs, se muestra a favor de un «progreso similar» para Afganistán. En Kabul, como en Washington, la idea de promover una suerte de reparto del poder con los talibanes es considerada en lo sucesivo como una estrategia de salida. «Todo afgano puede jugar un papel si hace foco en el futuro y no en el pasado», afirma Hamid Karzaï. [B]El papel clave de Pakistán.[/B] Las tentativas precedentes no dieron, sin embargo, nunca nada. La insurrección es más fuerte que nunca desde el 2001, los talibanes siempre rechazaron la mano extendida por un gobierno corrompido, que consideran como un títere de los Estados Unidos. ¿Por qué las cosas serían diferentes hoy? Porque Pakistán entraría esta vez en el baile. Los servicios de información paquistaníes, que participaron ampliamente en la creación de los talibanes afganos en los años 1990, habrían aceptado tratar de convencer a los insurrectos a negociar. A cambio, Pakistán pediría concesiones a Washington, un empujón en su rivalidad con la India sobre la región de Cachemira o un espacio de influencia en Afganistán, considerada como esencial para su «profundidad estratégica». El general McChrystal cuenta también con el refuerzo de 30.000 soldados destinado a mostrar la determinación americana, para provocar un efecto psicológico entre los insurrectos y convencerlos a aceptar una paz negociada. «Muchos jefes rebeldes sin ideología, para los que al-Qaeda es sólo una etiqueta, están cansados y preparados para negociar. Sobre todo si se les paga y les damos trabajo. De todos modos, la solución final pasará forzosamente por ahí», explica un oficial relacionado con Afganistán. ¿La "mayonesa" no se cortará? Si se cree en las recientes advertencias del embajador americano en Kabul, que el New York Times se proporcionó una copia el martes, el aumento de las tropas hace peligrar, mejor dicho, contrarresta el esfuerzo de guerra, agravando la dependencia del gobierno de Karzaï de los Estados Unidos. «Enviar tropas suplementarias sólo desplazará el día de la devolución del poder a los afganos y hace difícil, incluso imposible, la vuelta de nuestros hombres en un plazo razonable», escribía el diplomático a finales de 2009. [I]Fuente[/I]: Isabelle Lasserre para Le Figaro Traducción propia. [B][SIZE="3"]Le président afghan veut tendre la main aux talibans.[/SIZE][/B] Hamid Karzaï était à Istanbul, mardi, pour un mini-sommet réunissant les pays voisins de l'Afghanistan, qui ont approuvé son plan. Crédits photo : AP Hamid Karzaï va proposer un plan de réconciliation nationale, jeudi à la conférence de Londres. Invité vedette de la conférence sur l'Afghanistan qui aura lieu jeudi à Londres, Hamid Karzaï tentera d'imposer sa nouvelle stratégie de «réconciliation» avec les talibans «modérés». Le président afghan espère les inciter à déposer les armes. «Ceux d'entre les talibans qui ne sont pas membres d'al-Qaida ou d'un autre réseau terroriste sont les bienvenus s'ils veulent rentrer dans leur pays, déposer les armes et reprendre une vie (normale)», a-t-il affirmé. Il a l'intention de demander que certains talibans soient retirés de la liste de sanctions de l'ONU, créée en 1999. Réunis à Istanbul pour un mini-sommet, les pays voisins de l'Afghanistan et la Turquie ont approuvé le plan Karzaï. L'initiative est aussi encouragée par les Américains, qui cherchent une porte de sortie en Afghanistan et aimeraient amorcer le retrait de leurs troupes dès 2011. Persuadé que la solution militaire ne peut suffire pour vaincre les talibans, le général McChrystal, commandant des forces internationales en Afghanistan, l'a dit sans ambages lundi au Financial Times : «En tant que soldat, je pense qu'il y a eu assez de combats et je crois qu'une solution politique, comme dans tous les conflits, est inévitable.» Quant à l'émissaire américain Richard Holbrooke, il a affirmé que les grandes puissances soutiendraient la proposition du président afghan si les talibans concernés prenaient leurs distances avec al-Qaida. Une nouvelle fois, les Américains s'inspirent de l'exemple irakien, lorsqu'un changement de stratégie avait permis de rallier les tribus sunnites à partir de 2006 et de les retourner contre al-Qaida. Le porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, se dit favorable à un «cheminement similaire» pour l'Afghanistan. À Kaboul, comme à Washington, l'idée de promouvoir une sorte de partage du pouvoir avec les talibans est désormais considérée comme une stratégie de sortie. «Tout afghan peut jouer un rôle s'il se focalise sur l'avenir et non sur le passé», affirme Hamid Karzaï. [B]Le rôle clé du Pakistan.[/B] Les précédentes tentatives n'ont pourtant jamais rien donné. L'insurrection étant plus forte qu'elle ne l'a jamais été depuis 2001, les talibans ont toujours refusé la main tendue par un gouvernement corrompu, qu'ils considèrent comme une marionnette des États-Unis. Pourquoi les choses seraient-elles différentes aujourd'hui ? Parce que le Pakistan entrerait cette fois dans la danse. Les services de renseignements pakistanais, qui ont largement participé à la création des talibans afghans dans les années 1990, auraient accepté d'essayer de convaincre les insurgés de négocier. En échange, le Pakistan demanderait des concessions à Washington, un coup de pouce dans sa rivalité avec l'Inde sur le Cachemire ou un espace d'influence en Afghanistan, considéré comme essentiel à sa «profondeur stratégique». Le général McChrystal compte aussi sur le surge, le renfort de 30 000 soldats américains destiné à montrer la détermination américaine, pour provoquer un effet psychologique chez les insurgés et les convaincre d'accepter une paix négociée. «Beaucoup de chefs rebelles sans idéologie, pour qui al-Qaida n'est guère qu'un label, sont fatigués et prêts à négocier. Surtout si on les paye et qu'on leur donne du travail. De toute façon, la solution finale passera forcément par là», explique un officier familier de l'Afghanistan. La «mayonnaise» prendra-t-elle ? Si l'on en croit les récents avertissements de l'ambassadeur américain à Kaboul, dont le New York Times s'est procuré mardi copie, l'augmentation des troupes risque plutôt de contrecarrer l'effort de guerre en aggravant la dépendance du gouvernement Karzaï vis-à-vis des États-Unis. «Envoyer des troupes supplémentaires ne fera que décaler le jour de la passation de pouvoir aux Afghans et rendre difficile, voire impossible, le retour de nos hommes dans un délai raisonnable», écrivait le diplomate fin 2009. [/QUOTE]
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