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Mensaje: <blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 984558" data-attributes="member: 7964">Otro que se baja de la presidencial.Egipto: el vicepresidente no será candidato a la presidencia.El vicepresidente egipcio Omar Suleiman, nombrado el sábado 29 de enero por el jefe de Estado Hosni Mubarak, anunció el jueves 3 de febrero, que no sería candidato en las elecciones presidenciales de septiembre próximo.Él rechazó, por otra parte, toda injerencia extranjera en los asuntos internos de Egipto. "La injerencia en nuestros asuntos internos es inaceptable y no lo permitiremos", dijo en una entrevista para la televisión nacional.Suleiman además declaró que los hechos violentos entre manifestantes favorables y hostiles hacia el presidente egipcio Hosni Mubarak eran el resultado de un "complot" instigado en el mismo Egipto o en el extranjero. "Vamos a investigar los hechos violentos, considerando que se trataría de un complot", declaró el vicepresidente.Los hermanos musulmanes "invitados" al diálogo."Es posible que haya muchas intenciones extranjeras, o de los Hermanos musulmanes (...), o de ciertos partidos u hombres de negocios. La mayoría de los que están siempre en la plaza Tahrir tienen intenciones específicas", añadió Suleiman. Los enfrentamientos desde el miércoles al mediodía en la plaza Tahrir, en el centro de El Cairo, provocaron por lo menos ocho muertos, según un nuevo balance del ministerio de salud egipcio, citado por la agencia oficial Mena. Según las fuentes médicas contactadas, los encontronazos provocaron más de mil heridos. Finalmente, Suleiman anunció que los Hermanos musulmanes, principal fuerza de oposición en Egipto y “bestia negra” del régimen, habían sido invitados a participar en el diálogo entre el poder y la oposición. "Nos pusimos en contacto con ellos, han sido invitados pero vacilan", declaró el vicepresidente. Los Hermanos musulmanes, que participan en las manifestaciones anti Mubarak, están oficialmente desterrados de la esfera política egipcia pero en la práctica son tolerados, donde disponen de influyentes redes de asistencia social.Fuente: Le Monde, AFP y Reuters 03.02.2011Traducción propia.Egypte: le vice-président ne sera pas candidat à la présidentielle.Le vice-président égyptien Omar Souleiman, nommé samedi 29 janvier par le chef de l'Etat Hosni Moubarak, a annoncé jeudi 3 février qu'il ne serait pas candidat à l'élection présidentielle en septembre.Il a rejeté, par ailleurs, toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de l'Egypte. "L'ingérence dans nos affaires intérieures est (...) inacceptable et nous ne permettrons pas cela", a-t-il dit dans une interview à la télévision nationale.M. Souleiman a en outre déclaré que les violences entre manifestants favorables et hostiles au président égyptien Hosni Moubarak étaient le résultat d'un "complot" fomenté en Egypte même ou à l'étranger. "Nous allons étudier [les violences], en considérant qu'il s'agissait d'un complot", a déclaré le vice-président.Les frères musulmans «invitès» au dialogue."Il est possible qu'il y ait plusieurs desseins étrangers, ou des Frères musulmans (...), ou de certains partis ou hommes d'affaires. La plupart de ceux qui sont toujours sur la place Tahrir ont des desseins spécifiques", a ajouté M. Souleiman. Les affrontements depuis mercredi à la mi-journée sur la place Tahrir, dans le centre du Caire, ont fait au moins huit morts, selon un nouveau bilan du ministère de la santé égyptien, cité par l'agence officielle Mena. Selon les sources médicales contactées, les heurts ont fait plus de mille blessés.Enfin, M. Souleiman a annoncé que les Frères musulmans, principale force d'opposition en Egypte et bête noire du régime, avaient été invités à participer au dialogue entre le pouvoir et l'opposition. "Nous les avons contactés, ils ont été invités. Ils hésitent", a déclaré le vice-président. Les Frères musulmans, qui participent aux manifestations anti-Moubarak, sont officiellement bannis de la sphère politique, mais tolérés dans les faits en Egypte, où ils disposent d'influents réseaux d'aide sociale.Le Monde avec AFP et Reuters 03.02.2011</blockquote>

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