Responder al tema

Mensaje: <blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 668191" data-attributes="member: 7964">La Liga Árabe fija un apoyo crítico del proceso de paz israelí-palestino.La Liga Árabe fija un apoyo crítico del proceso de paz israelí-palestino. / La Ligue Arabe affiche un soutien critique au processus de paix israélo-palestinien.Firmeza sobre la cuestión de Jerusalén pero con preocupación por no cerrar la puerta al inicio de negociaciones indirectas entre israelíes y palestinos: tal es el doble registro elegido por la mayoría de los ministros de Asuntos Exteriores de los Estados miembros de la Liga Árabe, reunidos el sábado 27 y el domingo 28 de marzo en Sirte, Libia. Teniendo en cuenta la imposibilidad de acercar los puntos de vista respectivos de Israel y de los Estados Unidos sobre la detención total de la colonización en Jerusalén Este, reclamo sostenido por Washington, la posición de la Liga parece a la vez moderada y ambigua.Su secretario general, Amr Moussa, subrayó que, "las semanas que vienen", convendría decidir si "continuar sobre la vía de las negociaciones, o cambiar completamente de curso". El sábado, en la apertura de esta reunión, que reunía a catorce jefes de Estado sobre los veintidós miembros de la Liga Árabe, Amr Moussa había dramatizado la situación: "Debemos estudiar la posibilidad de que el proceso de paz sea un fracaso completo. Ya es hora de hacer frente a Israel. Debemos preparar proyectos alternativos, porque la situación está en una rueda sin fin", sentenció.La resolución adoptada en Sirte prevee que la reanudación de las negociaciones israelí-palestinas requiere la detención de toda colonización israelí, una posición sostenida por Mahmoud Abbas, presidente de la Autoridad Palestina.Exasperación retórica.Siria y Libia incitaron a abandonar la estrategia del proceso de paz, incluso a recuperar la lucha armada, y se negaron a asociarse con el comunicado final. Estas divisiones subrayan una cierta frustración. La Iniciativa de Paz árabe, propuesta por Arabia Saudita en 2002 y vuelta a lanzar en 2007, quedó en letra muerta.Hasta si diferentes argumentos son invocados; guerra, resistencia armada o pacífica, declaración unilateral de un Estado palestino, la mayoría de los países árabes no contempla seriamente otra alternativa al proceso de paz. Arabia Saudita sube el tono denunciando "la política de arrogancia de Israel" y "su insistencia que desafía la voluntad internacional", pero esta exasperación queda retórica.Es lo que quiso subrayar Nabil Abou Roudeinah, consejero próximo de M. Abbas: "Estamos listos para toda opción árabe, declaró. Si ellos quieren hacer la guerra, que ellos la declaren, y movilicen a sus ejércitos y sus poblaciones, y les seguiremos..."En realidad, la mayoría de los dirigentes árabes sostienen la estrategia de la Autoridad Palestina, que consiste en capitalizar la firmeza actual manifestada por Washington frente de Israel.En Jerusalén, el gobierno israelí todavía no dió respuesta a las peticiones norteamericanas que concernían a la detención total de la construcción en Jerusalén Este.Ehoud Barak, ministro de Defensa y dirigente de los laboristas, le pidió al primer ministro, Benjamin Nétanyahou, que presente una iniciativa de paz, y el presidente Shimon Péres recomendó introducir al partido centrista Kadima en el seno del gobierno.Estas llamadas a la conciliación no parecen ser entendidas: invocando las consultas entre los siete ministros más influyentes del gobierno, el viceprimer ministro Moshe Yaalon afirma que ninguno de ellos "cree que nosotros podemos llegar a un acuerdo con los palestinos".Fuente: Laurent Zecchini Corresponsal Le Monde en Jerusalén.Traducción propia.La Ligue Arabe affiche un soutien critique au processus de paix israélo-palestinien.Fermeté sur la question de Jérusalem mais souci de ne pas fermer la porte à l'ouverture de négociations indirectes entre Israéliens et Palestiniens : tel est le double registre choisi par la majorité des ministres des affaires étrangères des Etats membres de la Ligue arabe, réunis, samedi 27 et dimanche 28 mars, à Syrte (Libye). Compte tenu de l'impossibilité de rapprocher les points de vue respectifs d'Israël et des Etats-Unis sur l'arrêt total de la colonisation à Jérusalem-Est - réclamé par Washington -, la position de la Ligue apparaît à la fois modérée et ambiguë.Son secrétaire général, Amr Moussa, a souligné que, "dans les semaines qui viennent", il conviendra de décider soit de "continuer sur la voie des négociations, soit de changer complètement de cours". Samedi, à l'ouverture de cette réunion rassemblant quatorze chefs d'Etat sur les vingt-deux membres de la Ligue arabe, M. Moussa avait dramatisé l'enjeu : "Nous devons étudier la possibilité que le processus de paix soit un échec complet. Il est temps de faire face à Israël. Nous devons préparer des projets alternatifs, parce que la situation est à un tournant", avait-il souligné.La résolution adoptée à Syrte prévoit que la reprise des négociations israélo-palestiniennes requiert l'arrêt de toute colonisation israélienne, une position réaffirmée par Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne.Exaspération rhétorique.La Syrie et la Libye l'ont incité à abandonner la stratégie du processus de paix, voire à reprendre la lutte armée, et ont refusé de s'associer au communiqué final. Ces divisions soulignent une certaine frustration. L'Initiative de paix arabe, proposée par l'Arabie saoudite en 2002 et relancée en 2007, est restée lettre morte.Même si différents scénarios sont évoqués, guerre, résistance armée ou pacifique, déclaration unilatérale d'un Etat palestinien, la plupart des pays arabes n'envisagent pas sérieusement d'autre alternative au processus de paix. L'Arabie saoudite hausse le ton en dénonçant "la politique d'arrogance d'Israël" et "son insistance à défier la volonté internationale", mais cette exaspération reste rhétorique.C'est ce qu'a voulu souligner Nabil Abou Roudeinah, proche conseiller de M. Abbas: "Nous sommes prêts pour toute option arabe, a-t-il déclaré. S'ils veulent faire la guerre, qu'ils la déclarent, et mobilisent leurs armées et leurs populations, et nous les suivrons..."En réalité, la plupart des dirigeants arabes soutiennent la stratégie de l'Autorité palestinienne, qui consiste à capitaliser sur l'actuelle fermeté vis-à-vis d'Israël manifestée par Washington. A Jérusalem, le gouvernement israélien n'a toujours pas apporté de réponse aux demandes américaines concernant l'arrêt total de la construction à Jérusalem-Est.Ehoud Barak, ministre de la défense et chef de file des travaillistes, a demandé au premier ministre, Benyamin Nétanyahou, de présenter une initiative de paix, et le président Shimon Pérès, lui, a recommandé de faire entrer le parti centriste Kadima au sein du gouvernement.Ces appels à la conciliation ne semblent pas être entendus : évoquant les consultations entre les sept ministres les plus influents du gouvernement, le vice-premier ministre Moshe Yaalon affirme qu'aucun d'entre eux "ne croit que nous pouvons aboutir à un accord avec les Palestiniens".Laurent Zecchini Jérusalem Correspondant Le Monde.</blockquote>

Verificación: Guerra desarrollada entre Argentina y el Reino Unido en 1982