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Mensaje: <blockquote data-quote="HernanF" data-source="post: 668350" data-attributes="member: 7964">Hace dos años la operación Cast Lead/Plomo fundido comenzaba.Reanudación de las tensiones entre Israel y Gaza.Dos años después del comienzo de la operación israelí «Plomo fundido» contra Hamas en Gaza, el ciclo infernal de ataques y de represalias se ha incrementado nuevamente en este diciembre que termina.Antes de Navidad, un raid israelí mató a cinco combatientes de la Jihad Islámica, una organización aliada a Hamas, momentos antes de que tiraran un cohete con destino a Israel. Otros raids también se lanzaron contra túneles de contrabando e instalaciones de Hamas. Los palestinos por su parte han lanzado varias decenas de cohetes artesanales contra Israel, tanto Israel como Hamas presentan sus acciones como réplicas a los ataques del adversario. Una muchacha israelí ha resultado herida la última semana por un cohete lanzado sobre su kibutz, pero ninguna otra pérdida civil ha sido lamentada hasta ahora. El domingo, un choque tuvo lugar cerca de Khan Younis, en el sur de la franja de Gaza, entre las tropas israelíes y miembros de la Jihad Islámica, resultando muertos dos palestinos. Los militantes palestinos habrían sido atacados mientras instalaban un artefacto explosivo a lo largo de la barrera que rodea Gaza, regularmente recorrida por patrullas israelíes.Por ahora, israelíes como palestinos declaran querer evitar la escalada, pero los discursos de ambos enemigos se hacen amenazadores. «Hay una tregua efectiva sobre el terreno. Ella es real si Israel pone fin a su agresión y a su asedio. Pero si hay la menor agresión israelí contra la franja de Gaza, responderemos vigorosamente», declaró el domingo Abou Obeideh, un portavoz de las brigadas Ezzedine al-Qassam, la rama armada del Hamas. «Si esta situación perdura, si aún continúan entrando cohetes de contrabando en Gaza, si los palestinos continúan tirándolos sobre Israel e intentan atacar civiles inocentes, entonces deberemos replicar con toda nuestra potencia», amenazó Sylvan Shalom, ministro del desarrollo regional y suplente del primer ministro, Benyamin Nétanyahou.Nuevas armas antitanques.  La última semana, el jefe del estado mayor israelí, Gabi Ashkénazi, había descrito la situación como "tensa y frágil", susceptible de «deteriorarse, sobre todo si un cohete cae en una región poblada». A finales de 2008, las semanas precedentes a la operación «Plomo fundido» habían sido marcadas por un encadenamiento similar de raids israelíes y de tiros palestinos.La situación es complicada por la implicación de pequeños grupos islámicos radicales que desafían las consignas de Hamas tirando cohetes hacia Israel. A menudo presentados como ramas locales de al-Qaeda, estos grupos salafistas son a menudo, antiguos militantes de Hamas, decepcionados por el estancamiento relativo observado por el movimiento desde el fin de la operación «Plomo fundido», a quienes perciben como pasibles de pusilanimidad.Los israelíes tienen por su parte a Hamas, gobernando de facto la franja de Gaza desde el 2007, como "el único responsable" de todos los ataques lanzados contra su territorio. El ejército israelí también se inquieta por la presencia de armas antitanques modernas, introducidas de contrabando en Gaza. A principios de diciembre, un tanque israelí Merkava fue impactado por un misil Kornet, el equivalente ruso al Milan europeo. La tripulación no resultó herida, sin embargo este precedente es considerado como preocupante por los militares israelíes, que desplegaron blindados equipados con un nuevo sistema antimisiles a lo largo del territorio palestino. Estos misiles habían sido utilizados con éxito por el Hezbollah durante la guerra del Líbano del 2006, destruyendo varios tanques israelíes. Fuente: Adrien Jaulmes para Le Figaro 27.12.2010Traducción propia.Reprise des tensions entre Israël et Gaza.Deux ans après le début de l'opération israélienne «Plomb durci» contre le Hamas à Gaza, le cycle infernal des attaques et des représailles s'est de nouveau accéléré en cette fin décembre.Avant Noël, un raid israélien a tué cinq combattants du Djihad islamique, une organisation alliée au Hamas, alors qu'ils s'apprêtaient à tirer une roquette en direction d'Israël. D'autres raids ont aussi visé des tunnels de contrebande et des installations du Hamas. Les Palestiniens ont de leur côté tiré plusieurs dizaines de roquettes artisanales contre Israël, chaque camp présentant ses actions comme des ripostes aux attaques de l'adversaire. Une jeune fille israélienne a été blessée la semaine dernière par une roquette tombée sur son kibboutz, mais aucune autre perte civile n'a jusqu'à présent été déplorée. Dimanche, un accrochage a eu lieu au sol près de Khan Younès, au sud de la bande de Gaza, entre les troupes israéliennes et des membres du Djihad islamique, faisant deux morts chez les Palestiniens. Les militants palestiniens auraient été pris à partie alors qu'ils installaient un engin explosif le long de la barrière qui entoure Gaza, régulièrement parcourue par des patrouilles israéliennes.Pour le moment, Israéliens comme Palestiniens déclarent vouloir éviter l'escalade, mais les discours des deux ennemis se font menaçants. «Il y a une trêve effective sur le terrain. Elle est réelle si Israël met fin à son agression et à son siège. Mais s'il y a la moindre agression israélienne contre la bande de Gaza, nous répondrons vigoureusement», a déclaré dimanche Abou Obeideh, un porte-parole des brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas. «Si cette situation perdure, si des missiles entrent encore en contrebande à Gaza, si les Palestiniens continuent de tirer sur Israël et tentent de frapper des civils innocents, alors nous devrons riposter avec toute notre puissance», a menacé Sylvan Shalom, ministre du Développement régional et suppléant du premier ministre, Benyamin Nétanyahou.Nouvelles armes antichars. La semaine dernière, le chef d'état-major israélien, Gabi Ashkénazi, avait de son côté décrit la situation comme «tendue et fragile», susceptible de «se détériorer, surtout si une roquette s'abat dans une région peuplée». Fin 2008, les semaines qui avaient précédé l'opération «Plomb durci» avaient été marquées par un enchaînement similaire de raids israéliens et de tirs palestiniens.La situation est compliquée par l'implication de groupuscules islamiques radicaux qui défient les consignes du Hamas en tirant des roquettes contre Israël. Souvent présentés comme des branches locales d'al-Qaida, ces groupes salafistes sont le plus souvent d'anciens militants du Hamas, déçus par la relative retenue observée par le mouvement depuis la fin de l'opération «Plomb durci», qu'ils perçoivent comme de la pusillanimité.Les Israéliens tiennent pour leur part le Hamas, gouvernant de facto la bande de Gaza depuis 2007, comme «seul responsable» de toutes les attaques lancées contre leur territoire. L'armée israélienne s'inquiète aussi de la présence d'armes antichars modernes, entrées en contrebande à Gaza. Début décembre, un char israélien Merkava a été touché par un missile Kornet, l'équivalent russe du Milan européen. L'équipage n'a pas été blessé, mais ce précédent est considéré comme préoccupant par les militaires israéliens, qui ont déployé des blindés équipés d'un nouveau système antimissiles le long du territoire palestinien. Ces missiles avaient été utilisés avec succès par le Hezbollah pendant la guerre du Liban de 2006, détruisant plusieurs chars israéliens.Par Adrien Jaulmes  Le Figaro 27.12.2010</blockquote>

Verificación: Guerra desarrollada entre Argentina y el Reino Unido en 1982