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<blockquote data-quote="SuperEtendard" data-source="post: 115826" data-attributes="member: 128"><p><span style="color: Blue"><strong><p style="text-align: center">Une nouvelle génération de pilotes polyvalents </p><p></strong></span></p><p><span style="color: Blue"><em><p style="text-align: center">Le Rafale permettra aux équipages de faire du combat aérien comme de l'attaque au sol. Un atout de taille dans les conflits actuels. </p><p></em></span></p><p><span style="color: Blue">LONGTEMPS, au sein de la chasse française, il y a eu deux clans. Les «bleus», les pilotes de la défense aérienne, désignés par cette couleur en référence au fuselage de leurs avions. En charge de l'interception des avions ennemis, ils devaient se fondre dans l'azur, théâtre de leurs combats. Et puis, il y avait les «verts», ceux de l'attaque au sol, là encore une référence au camouflage de leurs appareils destinés à des bombardements à basse altitude. Désormais, sur la palette aéronautique, les deux couleurs devront se fondre. Les nouveaux pilotes de chasse seront polyvalents, comme leur avion, le Rafale. </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Concrètement, dans une crise du type Balkans, un même avion aurait pu décoller pour intercepter des Mig ex-yougoslaves et bombarder des sites de radars. «Ce profil apparaît très adapté aux conflits actuels, commente le capitaine Dominique Bonnot, dans le Golfe ou au Kosovo, on devait assurer des missions de niveau moyen en air-air comme en air-sol». Au bord de la longue piste bordée de pins de Mont-de-Marsan, l'homme suit de près les évolutions de ses «petits». Le capitaine Bonnot est le chef de la «cellule Rafale». Tous les appareils qui entrent en service aujourd'hui à Saint-Dizier sont passés entre ses mains. Ici, les nouveaux chasseurs sont à la dure. Au CEAM (Centre d'expérimentations aériennes militaires), où les premiers Rafale se sont posés en décembre 2004, on est là pour explorer toutes les possibilités de l'appareil. </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Capacité à voir et tirer derrière lui </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Son calme de vieux briscard de la chasse – avec plus de trois mille heures de vol – n'empêche pas le capitaine Bonnot de parler de «rupture conceptuelle» pour parler du nouvel avion et de son environnement. «Quand on est passé du Mirage F1 au Mirage 2000, on a commencé à ne plus parler de simple avion mais de système d'armes, explique-t-il, avec le Rafale, on passe au système intégré, et c'est une révolution.» Les chasseurs de la génération précédente, qu'il s'agisse d'un Mirage 2000 français ou d'un F16 américain, faisaient régulièrement l'objet de versions modernisées. «On arrivait à une superposition de capacités, avec de nouveaux logiciels qui rajoutaient des fonctions, poursuit le capitaine Bonnot, là, elles sont toutes prévues dès le départ et intégrées. Ce n'est plus le pilote mais l'avion qui fait la synthèse de tous les systèmes.» Les différentes informations arrivent du radar, de la liaison de données tactique, comme de l'optronique de secteur frontale ou des systèmes d'autoprotection. </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Le patron du CEAM, le général Eric Rouzaud, n'hésite pas à comparer le changement à celui d'un utilisateur d'ordinateur isolé qui se branche tout à coup à Internet. «Le pilote est connecté à un réseau, explique-t-il, tout est fusionné sur un même écran. Il n'a plus à jongler intellectuellement pour aller chercher les informations utiles à une action précise.» Ce pilote de chasse est lui aussi impressionné par les qualités «omnirôles» du nouveau chasseur. «Clairement, ce n'est pas un avion de défense aérienne sur lequel on a mis une couche d'air-sol, commente-t-il, c'est un avion vraiment polyvalent à la base.» </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Le Rafale va changer le combat aérien. Avec notamment sa capacité à voir et tirer derrière lui. «C'est une innovation majeure, poursuit le général Rouzaud, cela va rendre caduque la notion de fuite devant un appareil qui vous accroche, pour se mettre hors de portée.» Le «gibier» reste en effet très menaçant, voire en position de supériorité car il peut tirer son missile de plus loin, en intégrant la vitesse de rapprochement de l'avion poursuivant. Il va falloir retourner quelques scènes de «Top Gun»... Une révolution pour les pilotes, donc, mais aussi pour ceux qui planifient les opérations. «Ils vont gagner en souplesse d'emploi, explique le général Rouzaud, la polyvalence leur permettra de réorienter une mission alors que l'avion est en vol.» Et doté de capacités d'autoprotection, le Rafale n'aura pas forcément besoin d'être escorté pour une mission de bombardement. </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Cet avion se répare tout seul </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">La logistique elle aussi va connaître son «printemps». Au-delà des performances au combat, l'objectif du programme «Rafale» était de réduire le «coût de possession» de l'avion. Pari tenu, si l'on en croit le capitaine Nicolas Rojot, chef de l'équipe de soutien de Mont-de-Marsan. «Là aussi, il y a rupture conceptuelle, explique-t-il, les équipes techniques vont pouvoir être réduites de 20 à 25%». La grande nouveauté, c'est la suppression de la maintenance programmée, la fin des «grandes visites» systématiques prévues à intervalles réguliers. «Tous les éléments sont surveillés par des capteurs, poursuit le capitaine Rojot, l'avion déclare tout seul si telle ou telle pièce est en panne. Les pièces ne sont changées qu'en fonction de leur véritable état.» Le sergent-chef Hélène Bonnan montre une petite boîte noire : «Après le vol, on la récupère pour la connecter à un ordinateur, et l'on connaît l'état de santé de tout l'appareil.» </span></p><p><span style="color: Blue"></span></p><p><span style="color: Blue">Reste à savoir comment l'armée de l'Air va gérer cette polyvalence. Pour garder des pilotes «pointus» en combat aérien comme en attaque au sol, des escadrons omnirôles mais «à dominante» air-air ou air-sol pourraient être créés. Des pilotes bleus tireront donc sur le vert, tandis que des verts tireront sur le bleu... </span> </p><p></p><p></p><p>Siendo que el articulo es bastante largo, voy a traducir un par de comentarios que me parecen los mas interesantes.</p><p></p><p><em><span style="color: Blue">Le Rafale va changer le combat aérien. Avec notamment sa capacité à voir et tirer derrière lui.</span></em></p><p></p><p>"<strong>El Rafale va a cambir el combate aereo. Particularmente por su capacidad de ver y tirar hacia atras." </strong><img src="/foros/styles/default/xenforo/smilies/eek.png" class="smilie" loading="lazy" alt=":eek:" title="Eek! :eek:" data-shortname=":eek:" /> </p><p></p><p><em><span style="color: blue">Ce pilote de chasse est lui aussi impressionné par les qualités «omnirôles» du nouveau chasseur. «Clairement, ce n'est pas un avion de défense aérienne sur lequel on a mis une couche d'air-sol, commente-t-il, c'est un avion vraiment polyvalent à la base.» </span></em></p><p></p><p>"El piloto de caza tambien es impresionado por las capacidades "omniroles" de nuevo avion. Claramente no es un avion de defensa aerea al que se le dieron capacidades aire-suelo, comenta, <strong>es un avion verdaderamente polivalente desde su base."</strong></p><p></p><p></p><p><em><span style="color: blue">La grande nouveauté, c'est la suppression de la maintenance programmée, la fin des «grandes visites» systématiques prévues à intervalles réguliers. «Tous les éléments sont surveillés par des capteurs, poursuit le capitaine Rojot, l'avion déclare tout seul si telle ou telle pièce est en panne. Les pièces ne sont changées qu'en fonction de leur véritable état.» Le sergent-chef Hélène Bonnan montre une petite boîte noire : «Après le vol, on la récupère pour la connecter à un ordinateur, et l'on connaît l'état de santé de tout l'appareil.» </span></em></p><p></p><p>"La gran novedad, <strong>es la supresion del mantenimiento programado</strong>, el fin de las "grandes visitas" sistematicas previstas a intervalos regulares. Todos los elementos son supervisados por captadores, prosigue el capitan Rojot, <strong>el avion declara por si mismo si tal o cual pieza tiene una averia.</strong> Las piezas son cambiadas solo dependiendo de su estado verdadero. El sargento primero Helene Bonnan muestra una pequeña caja negra: <strong>"despues del vuelo, la recuperamos para conectarla a un ordenador, y conocemos el estado de salud de todo el aparato". </strong></p><p></p><p>Muy interesante no?</p><p></p><p>Saludos</p><p></p><p>PD.: Hablando de opiniones de los pilotos de Rafale, aca tenemos una:</p><p></p><p>"In dogfight exercises, the Rafale outflownes F-15, F-16 and F-18 opponents, and in technical and performance evaluations, we have systematically won against the F-15 and the Eurofighter Typhoon." Col. F.Moussez (CEAM).</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="SuperEtendard, post: 115826, member: 128"] [COLOR="Blue"][B][CENTER]Une nouvelle génération de pilotes polyvalents [/CENTER][/B] [I][CENTER]Le Rafale permettra aux équipages de faire du combat aérien comme de l'attaque au sol. Un atout de taille dans les conflits actuels. [/CENTER][/I] LONGTEMPS, au sein de la chasse française, il y a eu deux clans. Les «bleus», les pilotes de la défense aérienne, désignés par cette couleur en référence au fuselage de leurs avions. En charge de l'interception des avions ennemis, ils devaient se fondre dans l'azur, théâtre de leurs combats. Et puis, il y avait les «verts», ceux de l'attaque au sol, là encore une référence au camouflage de leurs appareils destinés à des bombardements à basse altitude. Désormais, sur la palette aéronautique, les deux couleurs devront se fondre. Les nouveaux pilotes de chasse seront polyvalents, comme leur avion, le Rafale. Concrètement, dans une crise du type Balkans, un même avion aurait pu décoller pour intercepter des Mig ex-yougoslaves et bombarder des sites de radars. «Ce profil apparaît très adapté aux conflits actuels, commente le capitaine Dominique Bonnot, dans le Golfe ou au Kosovo, on devait assurer des missions de niveau moyen en air-air comme en air-sol». Au bord de la longue piste bordée de pins de Mont-de-Marsan, l'homme suit de près les évolutions de ses «petits». Le capitaine Bonnot est le chef de la «cellule Rafale». Tous les appareils qui entrent en service aujourd'hui à Saint-Dizier sont passés entre ses mains. Ici, les nouveaux chasseurs sont à la dure. Au CEAM (Centre d'expérimentations aériennes militaires), où les premiers Rafale se sont posés en décembre 2004, on est là pour explorer toutes les possibilités de l'appareil. Capacité à voir et tirer derrière lui Son calme de vieux briscard de la chasse – avec plus de trois mille heures de vol – n'empêche pas le capitaine Bonnot de parler de «rupture conceptuelle» pour parler du nouvel avion et de son environnement. «Quand on est passé du Mirage F1 au Mirage 2000, on a commencé à ne plus parler de simple avion mais de système d'armes, explique-t-il, avec le Rafale, on passe au système intégré, et c'est une révolution.» Les chasseurs de la génération précédente, qu'il s'agisse d'un Mirage 2000 français ou d'un F16 américain, faisaient régulièrement l'objet de versions modernisées. «On arrivait à une superposition de capacités, avec de nouveaux logiciels qui rajoutaient des fonctions, poursuit le capitaine Bonnot, là, elles sont toutes prévues dès le départ et intégrées. Ce n'est plus le pilote mais l'avion qui fait la synthèse de tous les systèmes.» Les différentes informations arrivent du radar, de la liaison de données tactique, comme de l'optronique de secteur frontale ou des systèmes d'autoprotection. Le patron du CEAM, le général Eric Rouzaud, n'hésite pas à comparer le changement à celui d'un utilisateur d'ordinateur isolé qui se branche tout à coup à Internet. «Le pilote est connecté à un réseau, explique-t-il, tout est fusionné sur un même écran. Il n'a plus à jongler intellectuellement pour aller chercher les informations utiles à une action précise.» Ce pilote de chasse est lui aussi impressionné par les qualités «omnirôles» du nouveau chasseur. «Clairement, ce n'est pas un avion de défense aérienne sur lequel on a mis une couche d'air-sol, commente-t-il, c'est un avion vraiment polyvalent à la base.» Le Rafale va changer le combat aérien. Avec notamment sa capacité à voir et tirer derrière lui. «C'est une innovation majeure, poursuit le général Rouzaud, cela va rendre caduque la notion de fuite devant un appareil qui vous accroche, pour se mettre hors de portée.» Le «gibier» reste en effet très menaçant, voire en position de supériorité car il peut tirer son missile de plus loin, en intégrant la vitesse de rapprochement de l'avion poursuivant. Il va falloir retourner quelques scènes de «Top Gun»... Une révolution pour les pilotes, donc, mais aussi pour ceux qui planifient les opérations. «Ils vont gagner en souplesse d'emploi, explique le général Rouzaud, la polyvalence leur permettra de réorienter une mission alors que l'avion est en vol.» Et doté de capacités d'autoprotection, le Rafale n'aura pas forcément besoin d'être escorté pour une mission de bombardement. Cet avion se répare tout seul La logistique elle aussi va connaître son «printemps». Au-delà des performances au combat, l'objectif du programme «Rafale» était de réduire le «coût de possession» de l'avion. Pari tenu, si l'on en croit le capitaine Nicolas Rojot, chef de l'équipe de soutien de Mont-de-Marsan. «Là aussi, il y a rupture conceptuelle, explique-t-il, les équipes techniques vont pouvoir être réduites de 20 à 25%». La grande nouveauté, c'est la suppression de la maintenance programmée, la fin des «grandes visites» systématiques prévues à intervalles réguliers. «Tous les éléments sont surveillés par des capteurs, poursuit le capitaine Rojot, l'avion déclare tout seul si telle ou telle pièce est en panne. Les pièces ne sont changées qu'en fonction de leur véritable état.» Le sergent-chef Hélène Bonnan montre une petite boîte noire : «Après le vol, on la récupère pour la connecter à un ordinateur, et l'on connaît l'état de santé de tout l'appareil.» Reste à savoir comment l'armée de l'Air va gérer cette polyvalence. Pour garder des pilotes «pointus» en combat aérien comme en attaque au sol, des escadrons omnirôles mais «à dominante» air-air ou air-sol pourraient être créés. Des pilotes bleus tireront donc sur le vert, tandis que des verts tireront sur le bleu... [/COLOR] Siendo que el articulo es bastante largo, voy a traducir un par de comentarios que me parecen los mas interesantes. [I][COLOR="Blue"]Le Rafale va changer le combat aérien. Avec notamment sa capacité à voir et tirer derrière lui.[/COLOR][/I] "[B]El Rafale va a cambir el combate aereo. Particularmente por su capacidad de ver y tirar hacia atras." [/B]:eek: [I][COLOR="blue"]Ce pilote de chasse est lui aussi impressionné par les qualités «omnirôles» du nouveau chasseur. «Clairement, ce n'est pas un avion de défense aérienne sur lequel on a mis une couche d'air-sol, commente-t-il, c'est un avion vraiment polyvalent à la base.» [/COLOR][/I] "El piloto de caza tambien es impresionado por las capacidades "omniroles" de nuevo avion. Claramente no es un avion de defensa aerea al que se le dieron capacidades aire-suelo, comenta, [B]es un avion verdaderamente polivalente desde su base."[/B] [I][COLOR="blue"]La grande nouveauté, c'est la suppression de la maintenance programmée, la fin des «grandes visites» systématiques prévues à intervalles réguliers. «Tous les éléments sont surveillés par des capteurs, poursuit le capitaine Rojot, l'avion déclare tout seul si telle ou telle pièce est en panne. Les pièces ne sont changées qu'en fonction de leur véritable état.» Le sergent-chef Hélène Bonnan montre une petite boîte noire : «Après le vol, on la récupère pour la connecter à un ordinateur, et l'on connaît l'état de santé de tout l'appareil.» [/COLOR][/I] "La gran novedad, [B]es la supresion del mantenimiento programado[/B], el fin de las "grandes visitas" sistematicas previstas a intervalos regulares. Todos los elementos son supervisados por captadores, prosigue el capitan Rojot, [B]el avion declara por si mismo si tal o cual pieza tiene una averia.[/B] Las piezas son cambiadas solo dependiendo de su estado verdadero. El sargento primero Helene Bonnan muestra una pequeña caja negra: [B]"despues del vuelo, la recuperamos para conectarla a un ordenador, y conocemos el estado de salud de todo el aparato". [/B] Muy interesante no? Saludos PD.: Hablando de opiniones de los pilotos de Rafale, aca tenemos una: "In dogfight exercises, the Rafale outflownes F-15, F-16 and F-18 opponents, and in technical and performance evaluations, we have systematically won against the F-15 and the Eurofighter Typhoon." Col. F.Moussez (CEAM). [/QUOTE]
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