Le Préfet maritime de l'Atlantique a décidé, hier soir, de suspendre les recherches du pilote de l'un des deux Super Etendard qui se sont crashés mercredi après-midi en baie de Lannion. Il n'y a plus « d'espoir de retrouver le pilote en vie », a indiqué la Marine nationale. L'un des deux officiers est parvenu à s'éjecter et a été retrouvé vivant dans son canot de sauvetage. Le dinghie du second pilote avait, en revanche, été découvert vide mercredi soir. Les très importants moyens déployés sur zone (avion, hélicoptères, navires) n'ont pas permis de le retrouver. Quant au chasseur de mines Lyre, dépêché pour localiser les épaves, il a reçu l'ordre de regagner Brest après une dégradation des conditions météorologiques hier après-midi. « Ses recherches pour localiser les épaves des avions de chasse ne peuvent pas se poursuivre compte tenu des conditions de mer difficiles (mer forte, creux compris entre 2 et 4 mètres, rafales de vent qui atteignent environ 55 km/heure), qui empêchent la mise en oeuvre de ses moyens. La situation météorologique sur zone s'est fortement dégradée cet après-midi. Le travail de localisation des épaves pourra reprendre dès que les conditions météorologiques le permettront », indique la marine.
C'est au cours d'une mission d'entrainement, qui mobilisait en tout quatre Super Etendard Modernisés (SEM), que les deux appareils se sont abîmés en mer, à environ 27 kilomètres au nord de Morlaix. Appartenant à la flottille 11F, les SEM 38 et 49, malgré l'âge des cellules (28 ans), bénéficiaient comme tous les appareils de l'aéronautique navale d'une maintenance constante. L'un d'eux venait d'ailleurs de sortir d'une importante révision, menée à Landivisiau, où sont basées les flottilles de chasse embarquée. La Marine nationale dispose de 43 SEM, dont une grosse vingtaine en ligne.
L'enquête technique aéronautique a été confiée au Bureau Enquête Accident Défense - air (BEAD-air) de Brétigny-sur-Orge.
Entré en service en 1978, le Super Etendard, construit par Dassault Aviation, a été produit à environ 70 exemplaires. En trente ans, 14 appareils ont été perdus accidentellement, dont 5 dans la version modernisée (SEM), opérationnelle depuis 1996.
Dice que que cayeron 2 SEM, que se rescato uno de los pilotos y el otro esta desaparecido. que por las malas condiciones de tiempo se suspendio la busqueda del otro piloto.
y que a pesar de tener 28 años de antiguedad estan naves estaban permanentemente modernizadas y que una de ellas venia de una revision a fondo.
Que la Marine tiene 43 SEM de los cuales mas de 20 estan en actividad, que se construyeron en total 70 maquinas y que en 30 años se perdieron 14 aparatos de los cuales 5 son la version SEM operacionales desde el 96' .
Y que las naves eran la 38 y la 40.
C'est au cours d'une mission d'entrainement, qui mobilisait en tout quatre Super Etendard Modernisés (SEM), que les deux appareils se sont abîmés en mer, à environ 27 kilomètres au nord de Morlaix. Appartenant à la flottille 11F, les SEM 38 et 49, malgré l'âge des cellules (28 ans), bénéficiaient comme tous les appareils de l'aéronautique navale d'une maintenance constante. L'un d'eux venait d'ailleurs de sortir d'une importante révision, menée à Landivisiau, où sont basées les flottilles de chasse embarquée. La Marine nationale dispose de 43 SEM, dont une grosse vingtaine en ligne.
L'enquête technique aéronautique a été confiée au Bureau Enquête Accident Défense - air (BEAD-air) de Brétigny-sur-Orge.
Entré en service en 1978, le Super Etendard, construit par Dassault Aviation, a été produit à environ 70 exemplaires. En trente ans, 14 appareils ont été perdus accidentellement, dont 5 dans la version modernisée (SEM), opérationnelle depuis 1996.
Dice que que cayeron 2 SEM, que se rescato uno de los pilotos y el otro esta desaparecido. que por las malas condiciones de tiempo se suspendio la busqueda del otro piloto.
y que a pesar de tener 28 años de antiguedad estan naves estaban permanentemente modernizadas y que una de ellas venia de una revision a fondo.
Que la Marine tiene 43 SEM de los cuales mas de 20 estan en actividad, que se construyeron en total 70 maquinas y que en 30 años se perdieron 14 aparatos de los cuales 5 son la version SEM operacionales desde el 96' .
Y que las naves eran la 38 y la 40.