Me parece que no valía la pena...
El post Rafale en pista.
La Dirección General de Amamento (DGA) y las fuerzas armadas francesas ya se preparan para el post Rafale. En estos proyectos, Dassault Aviation tiene todas las chances de quedarse en el centro de la concepción y de la fabricación del avión de combate de la próxima generación, que emergerá hacia el 2020. Como lo menciona el diputado François Cornut-Gentille (UMP) en su informe sobre el equipamiento de las fuerzas, la conclusión lleva hacia un Optionally Piloted Vehicle (OPV), un aparato capaz de llevar a cabo operaciones con o sin piloto. Es sobre la base de una rica mezcla de Rafale y Neuron en la cual trabaja la empresa dirigida por Charles Edelstenne. El primer vuelo de este drone de combate está previsto en Istres para este verano. Y es por sostener tales investigaciones que Dassault ha sido elegido para la entrega de los próximos drones tácticos de las fuerzas armadas francesas (artículo LLA Nº 1510).
¿Bises y más bises? Por desgracia, los problemas de políticas industriales ocurridos con el Rafale tienen todas las posibilidades de repetirse. El Neuron es oficialmente fruto de una cooperación europea, con la española EADS-Casa, la italiana Alenia, la sueca Saab, etc. ¡Pero el contratista es únicamente Dassault Aviation!
Tampoco es cierto que esta configuración perduraría en el marco de un futuro programa de avión de combate. Además, Cassidian, la rama de defensa de EADS, anunció en diciembre su intención de lanzar un drone de combate (con Alenia…), aparato que podrá ser una mistura con su Eurofighter. La competencia intra-europea, incluso franco-francesa, amenaza nuevamente.
Fuente:La Lettre A
Traducción propia (
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L'après-Rafale en piste.
La Directiongénérale de l'armement (DGA) et les armées planchent déjà sur l'après-Rafale. Dans ces projets, Dassault aviation a toutes les chances de rester au cœur de la conception et de la fabrication de l'avion de combat de prochaine génération, qui émergera vers 2020. Comme le relève le député François Cornut-Gentille (UMP) dans son rapport sur l'équipement des forces, la réflexion se porte sur un Optionally Piloted Vehicle (OPV) - un appareil capable de mener des combats avec ou sans pilote. Soit un savant mélange du Rafale et du Neuron, sur lequel travaille la firme dirigée par Charles Edelstenne. Le premier vol de ce drone de combat est prévu à Istres cet été. Et c'est pour soutenir de telles recherches que Dassault a été choisi pour la livraison des prochains drones tactiques de l'armée française (LLA nº1510).
Bis repetita? - Hélas, les problèmes de politiques industrielles rencontrés avec le Rafale ont toutes les chances de se répéter. Le Neuron est officiellement le fruit d'une coopération européenne, avec l'espagnol EADS-Casa, l'italien Alenia, le suédois Saab, etc. Mais le maître d'œuvre est Dassault aviation et lui seul! Pas certain que cette configuration perdurerait dans le cadre d'un futur programme d'avion de combat. En outre, Cassidian, la branche défense d'EADS, a annoncé en décembre son intention de lancer un drone de combat (avec Alenia…), appareil qu'il pourra à terme mixer avec son Eurofighter. La concurrence intra-européenne, voire franco-française, menace de nouveau.
La Lettre A
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